Australie : le vol d’une McLaren 570S au Crown Melbourne

La firme australienne Crown Resorts est de nouveau impliquée dans une affaire délicate. Un vol de voiture de luxe a récemment été signalé dans son complexe intégré situé à Melbourne. Par conséquent, le propriétaire du véhicule envisage de poursuivre l’hôtel-casino.

Crown Melbourne : vol d'une voiture McLaren 570S

Un plan presque parfait

Plus tôt en mai 2022, un évènement fâcheux s’est produit au Crown Melbourne en Australie. Concrètement, un individu mal intentionné a réussi à voler une McLaren 570S au beau milieu de son parking. Cet homme de 43 ans a réalisé un tour de force en convainquant les voituriers du site. Ainsi, il a obtenu les clés de la voiture sans encombre aux alentours de 3h du matin.

Pourtant, Johnny Nahlous, le véritable conducteur du bolide se divertissait toujours au casino à ce moment-là. En plus, il disposait encore du ticket de voiturier lui permettant de récupérer la McLaren à sa sortie. Quand il a enfin décidé de quitter l’établissement, il a amèrement constaté la disparition de sa voiture de sport.

Manifestement, les voituriers ont précisé que le propriétaire de l’automobile est déjà parti quand Nahlous a montré son ticket. Très vite, la police locale a été alertée et la voiture de luxe a été retrouvée avec l’aide de Honeymoon Car Hire. Il s’avère que Johnny Nahlous a loué le véhicule en question à cette société de location.

D’après Georgia Hunter, la représentante de Honeymoon Car Hire, son entreprise va intenter une action en justice au moment opportun. À l’évidence, la McLaren 570S a subi des dommages importants au niveau du moteur et à l’intérieur. À titre d’information, cette voiture coûte environ 500 000$.

Une première chez Crown Melbourne ?

En réalité, le voleur a été appréhendé à West Footscray au volant du véhicule. Il est à présent accusé de vol de voiture. Cela dit, son procès est prévu le 17 octobre au tribunal de Melbourne. En attendant ce jour fatidique, cet individu jouit d’une liberté sous caution.

Il semblerait que ce n’est pas le premier cas de vol de voiture lié à Crown Melbourne. En 2010, un homme y a subtilisé une Ferrari F430 Spider en employant le même mode opératoire. Par la suite, il a écopé de 4 mois de prison ferme.

À l’heure actuelle, les autorités australiennes continuent de mener des investigations sur l’incident récent. Dans son communiqué, Crown Melbourne affirme que son équipe collabore étroitement avec les représentants de la loi. En outre, l’établissement a lancé une enquête interne afin de déterminer les circonstances qui ont entrainé cette situation.

Malgré tout, cette nouvelle laisse planer le doute sur les protocoles de sécurité du casino australien. Par voie de conséquence, cela concerne également sa société mère Crown Resorts. Qui, il faut le mentionner, traverse déjà une période difficile en termes de poursuites judiciaires. En bref, cette entreprise est confrontée à des désagréments majeurs avec des régulateurs de jeu. Elle est même impliquée dans une affaire de blanchiment d’argent et de terrorisme.

Vu l’ampleur de ses problèmes juridiques, le vol d’une voiture est le cadet des soucis de Crown Resorts. Pourtant, cette compagnie est une référence en matière de casinos sur le marché australien. Bien entendu, elle exploite principalement les casinos physiques et non les plateformes de jeux en ligne.

Reprise de l’ICE London en avril 2022

Après une absence de 2 ans, l’un des plus grands évènements de l’industrie du jeu reprend de plus belle. L’ICE London s’est en effet tenu à l’ExCeL London du 12 au 14 avril 2022. 3 jours assez mouvementés où les acteurs du marché des jeux d’argent se sont enfin retrouvés.

ice london 2022

À l’affût de nouvelles opportunités

Chaque année, l’ICE London se déroule dans les Docks Victoria aux alentours du mois de février. Ce rendez-vous rassemble toutes les sociétés qui exploitent les jeux d’argent, que ce soit le secteur en ligne ou physique. Opérateurs, éditeurs de jeux, fournisseurs de solutions de paiement ou agences de marketing sont tous les bienvenus.

Hélas, l’ICE London a subi une interruption forcée de 2 ans à cause de la pandémie de coronavirus. Mais l’évènement est heureusement de retour cette année. Prévu au mois de février comme à l’accoutumée, il a finalement été repoussé en avril. Plus précisément entre le 12 et le 14 avril 2022.

En bref, l’ICE London permet aux acteurs de l’industrie du jeu de jouir d’une séance de réseautage et d’un partage d’expériences. En général, près de 30 000 exposants des quatre coins de la Terre y participent. L’occasion idéale pour conclure des partenariats stratégiques au beau milieu des innombrables cocktails.

En outre, les développeurs de jeux de hasard exhibent leurs meilleures créations et les nouveautés au cours de cette foire. Et ce, pour le plus grand bonheur des amateurs de jeux d’argent qui visitent les divers stands.

L’édition n’a pas eu l’effet escompté

De toute évidence, l’ICE London 2022 a rencontré moins de succès par rapport aux années précédentes. Certains grands noms du domaine ont visiblement déserté les lieux. Entre autres, la société EGT a brillé par son absence au cours de ce rendez-vous incontournable. A priori, elle a évoqué des risques pour la santé et un choix de date inapproprié. En particulier, Softswiss et BGaming se sont quant à eux abstenus principalement à cause de la guerre en Ukraine.

Pour toutes ces raisons, la zone destinée à l’exposition était assez réduite comparée aux autres éditions. Mais encore, le taux de fréquentation du salon a également diminué. Étant donné que l’évènement coïncidait avec les périodes de vacances, ce n’est pas très surprenant. D’autant plus que des restrictions sanitaires rigoureuses dues à la Covid-19 restent de rigueur dans quelques pays du monde. Rendant les voyages problématiques pour certaines juridictions.

Malgré tout, l’ICE London a eu lieu dans les meilleures conditions possibles. Les participants ont assisté à des échanges constructifs sur l’avenir des jeux d’argent lors des conférences. D’après les experts du milieu, dont un haut responsable chez Betsson, le marché de l’Amérique latine est en pleine croissance. Par ailleurs, le domaine de l’e-sport recèle aussi un énorme potentiel.

Les dates pour l’ICE London 2023 sont d’ores et déjà dévoilées alors que l’édition 2022 vient à peine de s’achever. Ainsi, les réjouissances se tiendront comme d’habitude à l’ExCeL London du 7 au 9 février 2023. À première vue, plus de 54 pays y seront représentés.

iSoftBet et PokerStars : à la conquête des joueurs internationaux

En vue de l’expansion de ses activités, iSoftBet enchaine les partenariats avec les gros bonnets de l’industrie du jeu. Dans la foulée, ce fournisseur de jeux d’argent a conclu un accord mémorable avec PokerStars. Dorénavant, ses titres originaux sont associés à la marque de son nouveau bras droit.

PokerStars et iSoftbet signent un partenariat

Une nouvelle ère de prospérité

iSoftBet n’a jamais caché sa volonté de gagner une plus grande visibilité sur le plan mondial. Dans ce but, cette société d’édition de jeux de casino en ligne s’est entourée des meilleurs acteurs de l’iGaming. Dernièrement, elle a ajouté l’opérateur de renom PokerStars à sa longue liste de collaborateurs. Une alliance qui promet de faire des étincelles dans l’industrie du jeu.

Le contrat liant ces 2 géants du marché des paris est bel et bien ficelé. En bref, le document stipule que le catalogue de jeux complet d’iSoftBet est désormais à la disposition de PokerStars. Entre autres, cet opérateur tire profit des titres à succès comme Gold Digger, Hot Spin ou encore Aztec Gold : Extra Gold Megaways. Un grand tournant dans l’histoire de ces partenaires de fraiche date.

Selon les termes de l’accord, iSoftBet est également tenu de fournir une sélection exclusive de machines à sous à PokerStars. Y compris les opus Plunderin’ Pirates : Hold & Win et Rising Samurai. Manifestement, ces divertissements sont pourvus du mécanisme Hold & Win d’iSoftBet. Une fonctionnalité novatrice dont la plupart des jeux populaires du développeur jouit.

En vérité, cette démarche devait faciliter le lancement de ces opus. Tout en marquant le début d’une énorme complicité entre les 2 signataires.

iSoftBet, sur une belle lancée

Frederica Faggiano, la représentante d’iSoftBet, est enthousiaste à l’idée de compter PokerStars parmi les alliés de son entreprise. « PokerStars est une grande marque de renommée mondiale et nous sommes ravis de promouvoir notre gamme de jeux à ses côtés », souligne-t-elle.

De toute évidence, iSoftBet a enregistré une croissance significative au cours de l’année 2021. À cet effet, la société a ciblé les principaux marchés règlementés à l’échelle internationale. Cela va sans dire, la compagnie ne s’est pas reposée sur ses lauriers en début d’année 2022. Concluant au passage des accords stratégiques avec des collaborateurs comme Merkur Spiel, United Remote et, depuis peu, PokerStars.

En fait, cet arrangement commercial avec PokerStars arrive à point nommé. Pour la bonne raison que c’est l’un des opérateurs de jeux les plus connus aux États-Unis. À ce jour, cette firme est habilitée à exercer ses activités au New Jersey, au Michigan et en Pennsylvanie. Un avantage considérable pour les efforts d’expansion d’iSoftBet.

Ainsi, l’éditeur intègre des marchés dynamiques nettement convoités. Profitant par la même occasion de la solide réputation de PokerStars à travers le monde.

À titre de rappel, iSoftBet s’est fait remarquer dans le courant de l’année 2011. Lorsqu’il a percé le marché des jeux en Italie. Très vite, le développeur a conquis d’autres juridictions : Belgique, Espagne, Portugal, Danemark, Lituanie, Suède, etc. À présent, les bureaux d’iSoftBet se trouvent au Royaume-Uni, à Malte, en Roumanie, aux Philippines et à Chypre.

Evolution et Loto-Québec : un parcours sans faute

L’éditeur de jeux très réputé Evolution et l’opérateur Loto-Québec ont signé un partenariat aux alentours de 2018. Depuis, ce duo de choc a connu un énorme succès sur le territoire canadien. À présent, les 2 associés poursuivent leur belle aventure en lançant les tables « Dual Play ».

Des jeux de tables Dual Play au casino Montréal grâce à Evolution

Des jeux Dual Play au Casino de Montréal

En vue de l’expansion de ses activités, Loto-Québec a précédemment conclu un accord avec Evolution. Ce contrat s’est avéré fructueux pour les 2 parties jusqu’à présent. Afin de garder ce cap, ces colosses de l’industrie du jeu ont préparé une énorme surprise aux joueurs canadiens.

De toute évidence, le Casino de Montréal est le plus grand casino terrestre au Québec, voire à travers tout le Canada. Cette propriété de Loto-Québec attire de nombreux amateurs de jeux d’argent chaque année. Désormais, ces derniers peuvent se divertir sur des jeux de table en direct dénommés « Dual Play » au sein du complexe.

En réalité, le principe des tables Dual Play d’Evolution est très simple. En fait, elles permettent aux clients sur place du Casino de Montréal et aux joueurs en ligne de jouer simultanément. De cette manière, ils parient sur les mêmes parties en direct, et ce, à la même table.

Dans ce but, Evolution a mis 4 tables de jeu live de ce genre à la disposition de Loto-Québec. Plus précisément, le fournisseur a livré 2 roulettes et 2 tables de Baccarat Dual Play à son fidèle allié. Apparemment, le Casino de Montréal serait le pionnier des solutions de jeux Dual Play au Canada.

Une coopération couronnée de succès

En commentant sur l’évènement, les principaux intéressés ont évoqué une convergence entre les casinos terrestres et les casinos en ligne. C’est bel et bien le mot idéal pour qualifier le Dual Play d’Evolution.

D’ailleurs, le directeur commercial d’Evolution pour l’Amérique du Nord, Jeff Millar, partage ce point de vue. « Le casino en direct représente le pont naturel entre les établissements terrestres et en ligne…Grâce à Dual Play, nous avons développé un produit exclusif pour les casinos terrestres qui souhaitent explorer leur potentiel en ligne », affirme-t-il.

Pour le moment, ce sont les joueurs québécois qui vont tester cette offre innovante. D’autant plus que Loto-Québec a largement mérité cet honneur après des années de partenariat avec Evolution. Dans les faits, cette entreprise canadienne est entrée dans le monde des jeux en direct en 2018.

À cette époque, elle a initialement proposé 6 tables conçues par Evolution à ses clients. 5 tables sont animées par des croupiers francophones pour mieux se fondre dans la masse. Manifestement, les parties de jeux sont diffusées en temps réel depuis le studio d’Evolution situé à Vancouver.

Plus tard, Loto-Québec a introduit d’autres jeux de casino live signés Evolution dans son catalogue. Toutefois, cela concerne uniquement les sessions de jeu transmises en direct depuis les studios implantés en Europe. Dorénavant, les tables Dual Play viennent s’ajouter à cette superbe collection de jeux pour le plus grand plaisir des Canadiens.

Italie : 324,9 millions de bénéfice pour les casinos en ligne

En janvier 2022, le marché des jeux d’argent en ligne italien a réalisé des recettes exceptionnelles. Malgré les impacts de la pandémie de coronavirus, l’industrie du jeu a pu maintenir ses activités à flot.

Italie : les revenus des casinos en lignes atteignent 324,9 millions d’euros

Un mois mémorable pour l’iGaming local

Les opérateurs de jeux d’argent en Italie se relèvent doucement des séquelles provoquées par le COVID-19. En janvier, les casinos en ligne du secteur ont généré environ 324,9 millions d’euros de revenu global. Manifestement, ce chiffre représente le meilleur résultat enregistré à travers ce vertical des jeux de hasard en 8 mois.

En outre, ce bénéfice particulier serait le 5e montant le plus élevé recensé en 1 mois sur ce territoire. Cependant, les 324,9 millions restent en baisse de 3,3 % par rapport aux performances observées en janvier 2021. Toutefois, cette somme a quand même dépassé le double des profits engendrés à la même période en 2020.

Jusqu’à présent, le record établi en décembre 2020 n’a toujours pas été battu. Il faut reconnaitre que l’Italie a mis la barre assez haut avec un rendement mensuel de 359 millions d’euros. Et ce, uniquement par le biais des différentes offres des casinos en ligne.

Pour rappel, les recettes des jeux en ligne locaux sont estimées à 3,46 milliards d’euros au cours de 2021. De toute évidence, les jeux de casino ont ainsi rapporté approximativement 1,77 milliard d’euros. Suivis de près par les paris sportifs avec des bénéfices de 1,44 milliard d’euros. En bref, les profits de l’année 2021 sur les jeux en ligne ont augmenté de 46,1 % comparés à 2020. Cette année, l’iGaming en Italie pourrait continuer sur cette belle lancée compte tenu des gains engendrés en janvier.

D’autres faits marquants

Apparemment, 4 opérateurs italiens se sont hissés en tête du classement en ce qui concerne les revenus de janvier 2022. En premier lieu, PokerStars a obtenu un peu moins de 10 % de la part du marché. De son côté, l’entreprise Snai a hérité des 8,79 %. Cela dit, TTB Partners projette d’acquérir les actions de cette propriété de Playtech actuellement.

Par ailleurs, Sisal arrive à la 3e place avec des bénéfices atteignant les 7,93 %. À vrai dire, Flutter, le détenteur légitime de PokerStars, va bientôt finaliser l’ajout de Sisal à son portefeuille. Enfin, Lottomatica est le 4e opérateur d’Italie qui a amassé le plus de revenus en ligne au mois de janvier.

À titre d’information, les recettes des paris sportifs en ligne correspondent à 128,8 millions d’euros. Ce qui est bien en dessous des 143,6 millions engrangés en janvier 2021. Pour ce qui est du poker, les profits ont nettement progressé d’un mois sur l’autre. Concrètement, 11,4 millions d’euros proviennent des tournois tandis que 7,5 millions émanent des paris en général.

Il s’avère que ces chiffres demeurent timides en comparaison des résultats comptabilisés en 2020 et à l’aube de 2021. En effet, la COVID-19 a entrainé une curieuse recrudescence du poker durant ce laps de temps.

France : une censure publicitaire imposée à l’opérateur Winamax

Le fournisseur de paris sportifs Winamax est contraint de retirer l’un de ses spots publicitaires de son réseau. Le régulateur français a établi cette prescription lors de la réunion des administrateurs le 17 mars dernier.

Winamax, célèbre site de jeux d'argent français

« Tout pour la daronne »

L’Autorité Nationale des Jeux (ANJ) de France est formelle. Winamax doit enlever « Tout pour la daronne » de ses supports de diffusion dans un délai d’un mois. Apparemment, ce spot publicitaire constitue une entorse fondamentale aux règlementations en application.

En vérité, « Tout pour la daronne » est une spot vidéo d’à peu près 2 minutes mettant en scène un jeune homme et sa mère. En s’adonnant aux jeux de hasard, le figurant en question remporte un jackpot qui change une vie. Ainsi, il a amélioré la destinée de sa maman par le biais des paris sportifs. En tout cas, les membres de l’ANJ sont parvenus à cette conclusion en visionnant le court-métrage.

De ce fait, le comité de régulation a décidé que cette publicité transgresse un décret adopté le 4 novembre 2020. Autrement dit, le message véhiculé par « Tout pour la daronne » est proscrit sur le territoire français.

En principe, les exploits réalisés grâce aux paris sportifs ne devraient pas être associés à une évolution de statut social. Effectivement, le document officiel stipule clairement que : « toute communication commerciale en faveur d’un opérateur de jeux d’argent et de hasard est interdite lorsqu’elle suggère que jouer contribue à la réussite sociale ». C’est la raison pour laquelle l’ANJ considère que la publicité de Winamax est nocive pour les joueurs locaux.

Une menace pour les joueurs français

En général, les stratégies marketing liées aux jeux d’argent permettent aux opérateurs de se démarquer des bookmakers illégaux en France.

Cependant, ces publicités ne devraient en aucun cas promettre une meilleure condition de vie aux amateurs de paris. Par exemple, les images évoquant des voyages en jet privé ou sur une croisière de luxe sont à exclure. Ce que « Tout pour la daronne » semble incarner selon le point de vue de l’ANJ.

À l’évidence, ce genre de spot pourrait encourager les joueurs à miser davantage. Cela entrainerait de sérieux dommages comme l’addiction ou encore le surendettement. D’où la nécessité de réguler les supports publicitaires des opérateurs de manière rigoureuse.

D’ailleurs, l’autorité de règlementations française a publié les principales lignes directrices le 23 février. Bien entendu, le comité a effectué plusieurs entretiens avec ses licenciés avant de procéder à cette annonce.

Par la suite, l’ANJ a vérifié la conformité de certains spots commerciaux par rapport aux règles en vigueur. Résultat, le film de Winamax s’est avéré inapproprié et doit immédiatement être soustrait aux regards des joueurs français.

Pourtant, l’ARPP (Autorité de Régulation Professionnelle de la Publicité) ne s’est pas opposée à la diffusion de cette vidéo dès les premiers instants. En outre, le régulateur a affirmé que c’est la toute 1ère fois qu’il ordonne le retrait d’une communication commerciale.

Bet365 : les revenus de Denise Coates en baisse

Le dernier exercice comptable de Bet365 a révélé un fait digne d’intérêt. Il semblerait que, Denise Coates, patronne et fondatrice de cette société de jeux en ligne, a essuyé quelques pertes. En effet, sa part de bénéfice a baissé de plusieurs millions de livres sterling.

Denise Coates, CEO de bet365

Une réduction budgétaire ciblée

Actuellement, tous les yeux sont rivés sur l’une des femmes les plus influentes du Royaume-Uni. Cette personnalité n’est autre que la milliardaire Denise Coates. Depuis des années, elle dirige l’entreprise Bet365 d’une main de fer. Récoltant au passage d’énormes sommes d’argent pour ses caisses personnelles.

Dernièrement, sa compagnie a procédé à la clôture de son exercice financier le plus récent. Le verdict est tombé : Denise Coates a touché 170 millions de moins qu’avant. Plus précisément, elle a perçu un salaire de 250 millions de livres sterling. En outre, la directrice a obtenu près de 97,5 millions de livres de dividendes selon ses actions dans la firme. De ce fait, Coates a quand même amassé plus de 300 millions de livres malgré cette baisse de performance.

Apparemment, tous les hauts responsables de Bet365 sont confrontés à une réduction de salaire, dont Denise Coates elle-même. Globalement, cette grande figure de l’industrie du jeu a encaissé environ 1,3 milliard de livres ces 5 dernières années. Certains disent que cette femme serait la contribuable qui paie le plus de taxe sur le territoire britannique.

En 2020-2021, la famille Coates aurait versé approximativement 480 millions de livres sterling au gouvernement. Cette imposition place Denise Coates en tête du classement des contribuables du Sunday Times pour la énième fois. À l’évidence, ce montant serait suffisant pour rémunérer près de 14 400 infirmières ou 13 160 enseignants du secondaire au Royaume-Uni.

Bet365 : le secret de son succès

Pour rappel, Bet365 est basé à Stoke-on-Trent. À l’origine, c’est le père de Denise Coates qui s’est intéressé au monde des jeux d’argent. Il a ainsi géré une boutique de paris plutôt rentable.

Plus tard, Denise Coates et son frère John Coates ont repris le flambeau. Rapidement, ils ont compris que l’avenir de ce secteur reposait sur les jeux d’argent en ligne. Dans cette optique, le duo a enchaîné les partenariats stratégiques. Aujourd’hui, Denise Coates détient quasiment la moitié des actions de Bet365. Afin que son entreprise reste compétitive, elle a souvent fait d’énormes sacrifices.

En l’occurrence, cette femme a accepté de réduire ses bénéfices habituels tout comme ses collègues de travail. Manifestement, cette manœuvre a permis de stabiliser la situation de Bet365. En particulier, durant la période post-pandémique.

Il faut dire que l’annulation des rencontres sportives les plus populaires a grandement impacté les profits de Bet365. La compagnie a enfin pu reprendre son souffle quand ces évènements sont progressivement réapparus. Par-dessus tout, Bet365 a pu surmonter les séquelles de la COVID-19 grâce à l’essor des jeux en ligne. Lors de la 1ère année de la pandémie, les recettes de la firme s’élevaient à 2,82 milliards de livres. Cela dit, elle a engendré près de 2,81 milliards l’année précédente.

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