La nouvelle machine à sous de NetEnt, Dark King : Forbidden Riches fait fureur

netent dark king

Les amateurs de fantasy sont gâtés avec la toute récente machine à sous de NetEnt. Dark King : Forbidden Riches est tout droit sortie des studios de l’éditeur suédois. Vous pouvez déjà lancer quelques spins sur ce slot via de nombreux casinos en ligne. Êtes-vous prêt à plonger au cœur des ténèbres et à trouver des richesses inimaginables ?

Un univers de jeu rappelant le Seigneur des Anneaux

Difficile de ne pas faire le rapprochement avec Sauron en découvrant le Roi Noir de NetEnt. Son armure et l’univers assez sombre du slot rappellent étrangement ce personnage légendaire de la trilogie du Seigneur des Anneaux. La ressemblance est confortée par les symboles utilisés sur cette machine à sous. En effet, la table de paiement est composée du Roi Noir, de chevaliers noirs et d’un orbe de lumière. Les cartes A, K, Q, J et 10 sont façonnés avec un design gothique. Le Scatter, quant à lui, est représenté par une gemme frappé d’une tête de mort.

Dans son ensemble, le design de Dark King : Forbidden Riches est terrifiant. Les têtes de mort constituent l’élément principal de la décoration. Le Roi Noir se place à gauche de la grille, immobile, il tient une épée massive entre ses mains. Chaque détail nous plonge dans l’univers ténébreux du slot. Il faut le reconnaître, NetEnt a conçu des graphismes qui correspondent bien au thème du jeu. La musique qui accompagne les spins est plutôt épique et rend chaque tour de rouleaux très palpitant.

La structure du nouveau titre du software suédois est classique composée de 3 rangées et 5 rouleaux. Vous disposez de 20 différentes manières pour décrocher des gains. Le taux de retour au joueur est plutôt élevé avec 96,06 %. La gamme de mise est très abordable avec un minimum de 0,20 €. Les flambeurs peuvent augmenter les enchères jusqu’à 400 €.

netent dark king Free Spins

Une multitude de fonctionnalités

Dark King : Forbidden Riches est livré avec une multitude de fonctionnalités. Vous pouvez ainsi utiliser les différents types de Wilds, les Free Spins et les Multipliers pour avoir de belles chances de victoire.

L’orbe de lumière est le Wild du jeu, c’est également le symbole le plus rémunérateur avec le Roi Noir. Il peut être associé à n’importe quel symbole afin d’obtenir une ligne de paiement. De plus, lorsque plusieurs Wilds atterrissent sur les rouleaux, ils octroient un multiplicateur de gains. La valeur du multiplicateur est égale au nombre de Wilds qui s’affiche sur la grille. La fonction Wild Multiplier est active aussi bien dans le jeu de base que durant les Free Spins.

Le ticket d’entrée vers les Free Spins équivaut à 3 Scatters ou plus. Ainsi, 3 Scatters attribuent 10 Free Spins, 4 accordent 12 Free Spins et 5 Scatters octroient 15 Free Spins. La fonction Sticky Wild Hotspots se déclenche durant les tours gratuits. C’est une zone en forme de croix qui repose sur les rouleaux 2, 3 et 4. Tout symbole Wild qui atterrit dans cette partie de la grille se transforme en Sticky Wild. Ce symbole spécial alloue 1 Free Spin additionnel et demeure figé sur les rouleaux jusqu’à la fin des tours gratuits.

D’autre part, il ne faut pas oublier que chaque Wild ou Sticky Wild qui s’affiche sur la grille octroie un multiplicateur. La valeur des multiplicateurs varie de x1 à x5. Les Free Spins garantissent donc une excellente combinaison des diverses fonctionnalités de cette machine à sous.

Vous avez sûrement compris que Dark King : Forbidden Riches possède un gameplay très simple. Les Free Spins offrent de réelles chances d’augmenter vos probabilités de gains. Fonctionnant avec des PC et des appareils mobiles, ce nouveau joujou de NetEnt pourrait bien se hisser parmi les slots les plus incontournables.

Ron Meyer a perdu des millions de dollars sur les tables de craps

ron meyer x craps

Les tabloïds américains ont découvert le penchant de Ron Meyer, un magnat de Hollywood. Ce dernier serait un joueur compulsif et a dépensé des millions de dollars dans les casinos américains. Le chasseur de talents affectionne particulièrement le craps, un jeu de dés. Ron Meyer s’est même endetté pour pouvoir poursuivre ses sessions de jeux. Acculé, il aurait demandé de l’aide à ses proches pour rembourser ses prêts.

Une incroyable réussite à Hollywood

C’est dans les années 60 que Ron Meyer fait ses débuts dans le show-business. Il a intégré l’agence artistique de Paul Kohner à Los Angeles. Quelques années plus tard, il travaille pour l’agence William Morris. En 1975, il décide de fonder sa propre agence artistique avec quelques amis : la Creative Artists Agency. Les débuts n’ont pas été faciles, mais l’agence a progressivement réussi à s’imposer en recrutant les futures stars hollywoodiennes.

En 1995, la carrière de Ron Meyer prend un véritable tournant. Il est nommé à la tête des opérations d’Universal Studios. Le vent continue à tourner en sa faveur et en 2013, il obtient la promotion de sa carrière avec le poste de vice-président de NBC Universal, la société mère d’Universal Studios.

Des millions de dollars de pertes au craps

Si la vie professionnelle de Ron Meyer est un véritable succès, l’homme connaît de sérieux problèmes dans sa vie privée. En effet, le chasseur de talents est reconnu pour être un joueur compulsif. Il a toujours tenu à garder secret cette facette de sa personnalité. Sa seconde femme n’a jamais eu connaissance de son côté flambeur jusqu’à leur séparation en 2018.

Selon des indiscrétions, il enregistre des pertes de 7 millions de dollars en une seule soirée. Ce fut notamment le cas au Caesars Palace.

Notre homme est également un habitué du Caesars Atlantic City. Lorsqu’il vient à New York pour des voyages d’affaires, il réserve le penthouse de l’hôtel Mandarin Oriental. Le responsable marketing de Caesars Atlantic City envoie ensuite un hélicoptère pour qu’il rejoigne discrètement le casino.

D’autres tabloïds américains révèlent que quand le high roller dépense son bankroll à Caesars Atlantic City, il part jouer dans d’autres établissements comme Foxwoods ou Mohegan Sun. Là-bas, le même scénario se produit, car Ron Meyer claque des millions de dollars en quelques instants. Il lui arrive même de contracter des prêts auprès de l’établissement de jeux. Cependant, notre joueur n’est pas chanceux et il accumule les pertes. Pour certains casinos, il est l’un des plus gros joueurs de craps de tous les temps. 

Remboursement de dettes

Ron Meyer a toujours gardé sa vie de flambeur loin des projecteurs. Comment l’histoire a-t-elle été dévoilée ?

En 2013, Ron Meyer a eu une liaison avec l’actrice britannique Charlotte Kirk. Ce scandale lui a même coûté son poste à NBC Universal. Pour que l’actrice ne vende pas la mèche sur ses jeux excessifs, il a conclu un accord avec celle-ci. La starlette passait sous silence ses virées aux casinos contre 2 millions de dollars.

Par la suite, Charlotte Kirk et son fiancé n’ont cessé de lui extorquer de l’argent. Ron Meyer a cessé ses paiements et ses sessions de jeux excessives ont été dévoilées dans les médias.

Cerise sur le gâteau, Ron Meyer doit maintenant faire face à de grosses difficultés financières. Il aurait déjà demandé de l’argent à un co-fondateur de Creative Artists Agency pour rembourser des prêts de millions de dollars dans les casinos. De plus, il a perdu son poste à NBC Universal qui lui assurait des revenus annuels de 25 millions de dollars par an.

Evolution prolonge la date d’acceptation de l’offre de rachat de NetEnt jusqu’au 20 novembre

evolution et netent

La période de validation de l’offre d’acquisition faite par Evolution à NetEnt est prolongée jusqu’au 20 novembre. Cette décision a été prise étant donné que l’organisme chargé de la surveillance de la concurrence commerciale (Competition and Markets Authority) au Royaume-Uni a mené une enquête sur cette transaction. Les résultats de l’enquête devront être connus au plus tard le 16 novembre.

Un calendrier chamboulé par l’enquête du CMA

Rappelons d’abord les faits. Au mois de juin, le mastodonte des jeux live casino, Evolution a soumis une offre de rachat à NetEnt. L’enveloppe s’élève à 2 milliards de dollars et 20 % des actionnaires de NetEnt ont affirmé qu’ils acceptent le deal. Selon le calendrier initial, le délai d’acceptation de l’offre est fixé pour fin octobre. Mais de nouveaux paramètres n’ont pas permis aux deux éditeurs de respecter ce deadline.

En effet, l’autorité de surveillance de la concurrence commerciale (CMA) a jugé bon de mener une enquête sur cette importante transaction. L’organisme appréhende que la fusion de ces grosses pointures de l’iGaming n’ait des conséquences sur la concurrence sur le marché britannique. Le 22 septembre, le CMA a donc invité les parties intéressées à soumettre leur observation. Les avis ont été recueillis jusqu’au 5 octobre. L’entité a annoncé que les résultats seront publiés avant le 16 novembre. Si besoin, l’enquête pourrait entrer dans une seconde phase.

Les appréhensions du CMA sont fondées étant donné que ce sont 2 grands fournisseurs de jeux qui vont fusionner. En effet, Evolution est la référence en matière de jeux live et le savoir-faire de NetEnt dans la conception de jeux de casino en ligne n’est plus à démontrer.

NetEnt aura jusqu’au 20 novembre inclus pour accepter l’offre

Face à la décision du CMA, le calendrier prévisionnel de la transaction entre Evolution et NetEnt est chamboulé. En effet, l’offre d’Evolution est soumise à la condition d’obtenir l’approbation des autorités compétentes, dont l’autorité de la concurrence britannique.

Le conseil d’administration d’Evolution a donc repoussé l’échéance accordée aux actionnaires de NetEnt jusqu’au 20 novembre inclus. Par ailleurs, les termes et conditions relatifs à l’offre restent inchangés. Si le CMA donne son feu vert, les deux éditeurs software pourront finaliser leur accord vers le 1er décembre. Par contre, si la démarche du CMA entame une nouvelle phase, Evolution pourrait encore prolonger la période d’acceptation de l’offre.

Par ailleurs, le projet de rachat de NetEnt par Evolution a déjà été approuvé par l’autorité maltaise de la concurrence et de la consommation au mois de septembre.

Du côté de NetEnt, les actionnaires ont prolongé leurs engagements d’accepter l’offre d’Evolution jusqu’au 20 novembre inclus. À noter que le conseil d’administration de NetEnt recommande à ses actionnaires d’accepter l’offre à l’unanimité.

Un high roller singapourien poursuivi pour des dettes de 40 millions de dollars australiens

the star gold coast

Wong Yew Choy est poursuivi par le Star Gold Coast, un éminent casino australien. Ce gros joueur aurait enregistré d’énormes pertes dans cet établissement de jeux d’argent. Il a émis un chèque en blanc pour rembourser plus de 43 millions de dollars australiens. Cependant, le recouvrement n’a pas abouti. Star Gold Coast a donc pris la décision de porter l’affaire au tribunal.

43 millions de dollars australiens claqués en 7 jours

Wong Yew Choy est un flambeur singapourien qui jouit d’une grande réputation dans l’univers des jeux d’argent. Il est connu pour ses différentes actions philanthropiques. Ce high roller est souvent invité par de célèbres casinos pour jouer. En 2018 donc, Star Gold Coast, un remarquable casino du Queensland en Australie, a invité Wong Yew Choy. Le responsable marketing VIP de l’établissement lui a fait parvenir l’invitation, l’idée était de lui faire visiter les salles de jeux VIP du casino australien. Le joueur avait même emprunté le jet privé de Star Gold Coast pour arriver à destination. Le casino lui a également offert son séjour dans le penthouse ainsi que 100 000 dollars australiens.

À son arrivée, Wong Yew Choy aurait remis un chèque en blanc en échange de 40 millions de dollars australiens en jetons de jeu. Après une semaine de pari, notamment au baccarat, le gros joueur a dilapidé son bankroll. Il aurait bénéficié de 10 millions de dollars australiens supplémentaires qu’il a également perdus. À la fin de son séjour, le 2 août 2018, ses dettes au sein de Star Gold Coast s’élèvent donc à 43 209 853 de dollars australiens. Le casino a donc encaissé le chèque en blanc pour recouvrer les créances, mais la transaction n’a pas abouti.

L’affaire rejetée par la Haute Cour de Singapour

Star Gold Coast a envoyé plusieurs lettres exigeant le recouvrement des dettes du high roller singapourien. Ce dernier n’a donné aucune suite et n’a engagé aucun remboursement. Devant cette impasse, le Star Gold Coast a donc décidé de porter l’affaire auprès de la Haute Cour de Singapour. Le casino australien réclame le recouvrement des dettes de Wong Yew Choy, soit 43 209 853 de dollars australiens. À noter que c’est l’une des plus grandes affaires de recouvrement de créances liées au jeu dans le monde.

D’autre part, Wong Yew Choy s’est défendu en avançant une erreur venant du casino. D’après lui, le dirigeant de l’établissement, Paul Arbuckle, lui avait assuré que toute perte jusqu’au 30 juillet 2018 serait radiée comme des « erreurs » commises par les croupiers.

En considérant les arguments des 2 parties, la Haute Cour de Singapour a rejeté la plainte de Star Gold Coast. Le tribunal a considéré que Wong Yew Choy est une personnalité fréquemment incitée à jouer dans le monde entier.

Cette décision n’a pas satisfait le Star Gold Coast. Le casino porte ainsi l’affaire auprès de la Cour Suprême de Brisbane, en Australie pour recouvrir les dettes du joueur singapourien. La date du procès n’a pas encore été fixée.

La loterie nationale désormais interdite aux moins de 18 ans au Royaume-Uni

loterie

Les jeux de loterie représentent un danger pour les personnes vulnérables, mais aussi pour les jeunes. D’ailleurs, les publicités qui foisonnent au Royaume-Uni peuvent les entrainer à une pratique irresponsable du jeu. C’est la raison pour laquelle le gouvernement a ordonné un réajustement de l’âge minimum pour jouer. Si auparavant, la loterie britannique était accessible aux jeunes de 16 ans, il faudra désormais être âgé d’au moins 18 ans.

L’âge légal révisé

C’est dans le cadre d’un programme visant à réduire l’exposition des personnes vulnérables aux jeux de hasard que cette mesure a été prise. Le programme comprenait également la régulation des contenus publicitaires de la loterie. Les principaux décideurs concernant cette réforme sont Munira Mirza, la directrice de l’unité politique n°10, et Dominic Cummings, un des conseillers du Premier Ministre.

Auparavant, le Royaume-Uni était un cas à part étant donné que l’âge minimum pour jouer à la loterie était de 16 ans. Les jeux les plus appréciés des jeunes sont notamment Fruity 500 livres sterling, Treasure Temple et Bingo Millionaire appartenant au Camelot Group. Pour le gouvernement, 16 ans est un âge trop précoce pour être exposé aux jeux d’argent et de hasard. Une décision a alors été prise concernant l’âge minimum à avoir. Dans les prochaines semaines, il faudra avoir au moins 18 ans pour accéder aux jeux de loterie.

Un véritable danger pour les jeunes

Mims Davis, l’ancienne ministre des Sports et de la Société Civile avait déjà exposé ce sujet et évoqué ses craintes l’année dernière. Pour elle, il était nécessaire de rehausser l’âge minimum pour avoir accès aux jeux à gains instantanés et aux cartes à gratter. En juillet 2019, il avait lancé une consultation populaire sur le sujet afin de protéger les mineurs, de plus en plus jeunes à jouer, qui figurent parmi les personnes vulnérables.

Pour corroborer ses propos, M. Davis a pris l’exemple de Jane Park, une adolescente de 17 ans qui a gagné un million de livres sterling, et qui a vu sa vie totalement chamboulée par la suite. L’association Gamble Aware a également avancé des statistiques selon lesquelles 65 000 adolescents de moins de 16 ans achètent une carte à gratter ou un ticket de loterie au moins une fois par an. Parmi eux, 30 000 enfants âgés de 11 à 15 ans ont ensuite des problèmes d’addiction aux jeux.

La nécessité d’une nouvelle gérance pour la loterie nationale

cartes à gratter UK

L’UK Gambling Commission, l’autorité de régulation de jeux de hasard au Royaume-Uni, a déjà lancé un appel d’offres pour l’obtention de la licence d’exploitation de la loterie nationale qui sera valable pendant 10 ans. Pour l’instant, elle est la propriété du Camelot Group jusqu’en 2023. L’UK Gambling Commission a précisé que les candidats intéressés ne devraient pas penser uniquement aux profits. Les autorités ont exigé qu’il y ait une politique de promotion du jeu responsable et de protection des personnes vulnérables, dont les mineurs.

L’opérateur paneuropéen SAZKA Group est le 1er candidat à avoir manifesté son intérêt pour reprendre la gestion de la loterie nationale. Le sérieux du SAZKA Group n’est pas vraiment à démontrer étant donné qu’il gère la loterie de plusieurs pays européens comme Chypre, la Grèce, la République Tchèque ou encore l’Italie. L’une des exigences pour obtenir la licence est que l’opérateur soit capable d’élaborer un plan d’action pour promouvoir un jeu équitable et responsable, et cela sur une période de 10 ans.

Le contrôle des casinos au Cambodge validé par un vote au sein de l’Assemblée Nationale

Cambodge

En raison des importants profits qui en découlent, l’industrie des jeux de hasard peut être bénéfique pour l’économie d’un pays. C’est pourquoi un projet de loi concernant le contrôle des casinos a été soumis à l’Assemblée Nationale du Cambodge. C’est avec une écrasante majorité des votants que ce projet a été approuvé.

Un projet de loi validé par une grande majorité

Le projet de loi a pour objectif de placer les installations de jeux de hasard et les casinos sous le contrôle de l’État. Cela permettra alors de stimuler la croissance économique, d’obtenir des revenus plus conséquents qui augmente les recettes fiscales du pays et de maintenir un bon niveau de la sécurité sociale. Le contrôle des casinos permet également dans une autre mesure de contribuer à l’attrait touristique du Cambodge. C’est le 5 octobre que le vote a eu lieu durant la 6ème législature de l’Assemblée Nationale. C’est avec un vote sans appel de 114 voix sur 117 que le projet de loi de 12 chapitres et 97 articles a été validé et signé par le roi du Cambodge.

Les conditions requises aux casinos

Tous les établissements de jeux d’argent du Cambodge sont concernés par cette nouvelle loi. Des mesures strictes devront être respectées par toute entreprise souhaitant investir dans un casino. Tout d’abord, un capital minimum est requis pour avoir la possibilité d’ouvrir un établissement de jeux ainsi qu’un pourcentage d’imposition sur toutes les activités. Ensuite, ces établissements devront être impliqués dans la lutte contre le financement du terrorisme et le blanchissement d’argent. Leur zone d’implantation devra également être localisée dans un lieu à bonne distance des écoles et des lieux de prière. Aun Pornmoniroth, le ministre de l’Économie et des Finances, affirme que la surveillance des casinos ne sera pas un problème. De nouvelles technologies innovantes permettront même de la renforcer. Les établissements de jeux pourront alors proposer de nouvelles offres à leurs clients tout en assurant la pratique d’un jeu responsable.

Une loi pour promouvoir les investissements étrangers et la venue des touristes

Le ministre assure également que la réglementation en vigueur sera assez attractive pour inciter un maximum de partenaires étrangers à investir. Une fois cet objectif atteint, le Cambodge deviendra rapidement compétitif sur le marché international. 

Au Cambodge, 193 établissements de jeux d’argent possèdent actuellement une autorisation d’exploitation sur le territoire. Ce nombre pourrait très vite augmenter étant donné le développement rapide de ce secteur. Le projet de loi a donc pour objectif d’imposer à ces établissements une totale transparence de leur mode de fonctionnement.  De cette manière, la confiance des investisseurs est maintenue, ce qui contribue à promouvoir le tourisme et à stimuler la croissance économique du pays. Il est à noter que les Cambodgiens n’ont pas le droit de jouer dans les établissements de jeux de hasard, les casinos sont strictement réservés aux touristes étrangers.

Accusé de tricherie, un joueur porte plainte pour diffamation

Mike Postle Texas Hold’Em

Au poker comme aux nombreux autres jeux de cartes, une technique non conventionnelle peut être considérée comme une tricherie par certains observateurs. C’est ce qui est arrivé à un joueur durant une partie de Texas Hold’Em en 2019. Refusant de telles accusations, ce dernier a décidé d’attaquer ses détracteurs en justice pour diffamation et réclame pas moins de 330 millions de dollars.

Des méthodes assez douteuses

C’est dans un casino en Californie du Sud que l’affaire commence en septembre 2019. Veronica Brill, une commentatrice de poker observe une partie dans laquelle Mike Postle est présent. Celui-ci gagne très vite une réputation grâce à un enchainement de victoires. Cela entraine la suspicion de Veronica Brill, une spécialiste et commentatrice de parties de poker. Sur Twitter, elle ajoute l’inquiétude d’autres joueurs professionnels qui corroborent également sa théorie.

En effet au poker, il existe très exactement 2 598 960 mains possibles et la théorie du « Game Theory Optimal » suppose qu’il y a une décision optimale pour chacune de ses mains. Or, Mike Postle ne suit jamais cette théorie, ce qu’il a tout à fait le droit de faire. Cependant, le problème qui se pose est qu’il se couche toujours au bon moment alors que les statistiques l’avantagent quand cela se produit. De la même manière, il relance avec des mains faibles qui le donnent gagnant au final. Lorsque cela est systématique, la mise en cause pour tricherie est assez compréhensible.

Des tricheries durant les parties en direct ?

poker texas holdem

Mike Postle est également bien connu pour ses excellentes performances pendant les tournois retransmis en ligne. Contrairement à ce que l’on pense, ces parties ne sont pas en temps réel, elles disposent d’un délai de 30 minutes, cela afin d’empêcher les participants d’avoir accès aux cartes de leurs adversaires. Les détracteurs du joueur soupçonnent alors la présence d’un complice au sein de la régie du casino qui l’aide en dévoilant les cartes des autres joueurs face à lui.

Pour appuyer cette théorie, les observateurs interpellent l’habitude de Mike Postle à laisser son smartphone sur ses genoux. En effet, c’est une très bonne manière pour consulter les messages de ses complices en toute discrétion. Pour le joueur, il s’agit d’une accusation sans fondement. Il ne nie pas le fait de recevoir des messages, cependant il affirme qu’il s’agit tout simplement de messages et de photos de ses conquêtes qu’il n’est pas convenable de montrer en public.

Des conséquences graves pour les casinos

Selon le quotidien Wired, Mike Postle estime que les accusations de tricherie sont tout simplement inacceptables et nuisent grandement à sa réputation. De ce fait, il n’a d’autre choix que de porter plainte pour diffamation. Dans sa plainte, il réclame alors 330 millions de dollars de dommages et intérêts à un total de 12 personnes.

Depuis que cette affaire est sortie au grand jour, Mike Postle fait face à plusieurs accusations lancées par les joueurs qui se sont trouvées à la même table que lui. Pour les nombreux détracteurs, la décision de Mike Postle est assez logique. C’est un moyen de faire pression sur eux afin de les empêcher de continuer leur enquête.

Pour les observateurs avisés, si les accusations sont fondées, cette affaire est une catastrophe pour les casinos. En effet, l’erreur de Mike Postle a été de se faire passer pour un génie du poker. Il aurait pu faire semblant de perdre quelques mains afin d’être plus crédible dans son stratagème. Même s’il a fait une grossière erreur, Mike Postle a ouvert la voie à d’autres fraudeurs. Ces derniers pourront alors faire preuve de discrétion dans leurs actions et causer d’importantes pertes à l’industrie du jeu.

Valley Of The Gods 2 : une excellente suite

valley of the gods 2 yggdrasil

Après le succès phénoménal de Valley Of The Gods, Yggdracil a développé un deuxième volet de la machine à sous. L’éditeur suédois reprend le même thème de l’Egypte Antique et les mêmes fonctionnalités. En outre, il a également apporté quelques touches particulières. Vous souhaitez connaître les secrets des dieux égyptiens ? Préparez votre monture, rallumez les torches, nous retournons dans les dunes d’Égypte pour percer les mystères de Valley Of The Gods 2.

Une grille pyramidale et des graphismes de haute volée

Yggdrasil a vraiment pris le temps et a engagé les gros moyens pour doter Valley Of The Gods 2 de superbes graphismes. Faisant référence à la célèbre vallée des Rois, qui abrite les tombeaux des pharaons, les rouleaux se dressent entre les colonnes d’un temple égyptien. La grille se présente sous une forme pyramidale d’un point de vue horizontal. La structure se présente sous le format 1-2-3-4-5-2. Les scarabées recouvrent les autres cases qui peuvent être débloquées progressivement au cours des Respins. En arrière-plan, des pyramides se découpent et quelques palmiers donnent l’impression que vous vous relaxez dans une oasis. Une douce musique exotique berce ce magnifique cadre dressé par Yggdrasil.

Les symboles reprennent largement les icônes du panthéon égyptien, dont Bastet (félin), Sobek (crocodile), Horus (faucon) et Anubis (chacal). La déesse Bastet est le symbole le plus rémunérateur. Les cartes A, K, Q, J, 10 et 9 complètent les symboles. Ces derniers sont incrustés de pierres précieuses rouge ou bleu.

Sorti au mois de septembre, Valley Of The Gods 2 affiche un taux de retour au joueur de 96 % et une volatilité élevée. Sur le jeu de base, les joueurs disposent de 240 lignes de paie pour aligner les combinaisons gagnantes.

3 fonctionnalités époustouflantes

Chaque victoire remportée débloque les cases portant l’effigie des scarabées et attribue un Respin. Enchaînez donc les victoires et libérez toute la grille. Plus vous disposez de rangées de symboles, plus les chances de gagner augmentent. Il faut noter que lorsque tous les blocs sont libérés, les lignes de paiement augmentent jusqu’à 20 160.

Ainsi, vous basculez dans la fonction Scarab Collection et vous jouez maintenant sur toute l’étendue de la grille. Pour commencer ce mode de jeu, vous recevez un multiplicateur x2 et 1 Extra Life. Pour rappel, le premier volet de Valley Of The Gods était déjà doté de la fonction Extra Life. Celle-ci déclenche des spins lorsque vous n’obtenez pas de symboles gagnants.

Vous avez sans doute constaté les 3 scarabées en or à gauche de l’écran. Remplissez leur jauge pour accroître la valeur de votre multiplicateur et pour lancer des tours gratuits. Ainsi donc :

  • 5 scarabées bleus octroient 1 point au multiplicateur
  • 5 scarabées rouges accordent 1 Extra Life
valley of the gods 2 WILD

La fonction Wild Reel est la véritable particularité de Valley Of The Gods 2. Lorsque le joker apparaît dans la fonction Scarab Collection, il couvre toute une bobine et devient un Wild Reel. Il reste figé sur le rouleau jusqu’à ce qu’il fasse partie des symboles gagnants. Pour faire atterrir un Wild Reel, vous devez remplir la jauge correspondante avec 5 scarabées en or.

Vous avez sûrement compris l’astuce. Pour bénéficier des meilleures conditions dans cette deuxième partie de Valley Of The Gods, il suffit d’enchaîner les gains. Vous pouvez y parvenir avec les excellentes fonctionnalités du jeu et une bonne dose de chance.

La sortie de Valley Of The Gods 2 a été très attendue par les amateurs de machines à sous et plus précisément par les fans des slots d’Yggdrasil. Le titre est désormais disponible sur plusieurs casinos en ligne français. Nous ne doutons pas qu’il connaît déjà l’énorme succès du premier volet.

La fusion entre NetEnt et Evolution Gaming retardée par l’enquête du CMA

NetEnt x Evolution Gaming

Le calendrier des transactions sur le rachat de NetEnt par le géant des jeux live casino, Evolution Gaming, risque d’accuser un léger retard. En effet, l’entité chargée de la surveillance de la concurrence commerciale (Competition and Markets Authority) au Royaume-Uni a ouvert une enquête sur cette importante fusion. L’organisme tient à s’assurer que cette fusion ne comporte pas des irrégularités et n’ait des conséquences sur l’industrie des jeux d’argent en ligne. Les résultats de l’enquête devront être publiés avant le 16 novembre.

Les résultats de l’enquête du CMA publiés avant le 16 novembre

Cette année 2020, Evolution Gaming a soumis une offre de rachat d’un autre géant de l’iGaming, NetEnt. Cette acquisition s’élève à environ 2 milliards de dollars. Le conseil d’administration de NetEnt s’est déjà prononcé en faveur de cette opération et les formalités ont été engagées. Selon le calendrier prévisionnel, l’offre du leader des jeux live casino, Evolution Gaming, expirait le 26 octobre dernier. Les transactions, quant à elles, seront finalisées jusqu’au 2 novembre.

Cependant, comme les deux softwares sont des acteurs majeurs de l’industrie des jeux de hasard en ligne au Royaume-Uni, leur fusion a suscité l’intérêt du Competition and Markets Authority (CMA). Ce régulateur a donc décidé d’ouvrir une enquête sur le projet de fusion des deux sociétés le 22 septembre dernier. L’objectif est de déterminer si la transaction est pertinente ou si elle entraînera une diminution sensible de la concurrence sur le marché britannique des biens et des services. Plusieurs parties ont donc été invitées à émettre leur avis sur la question. La consultation a déjà pris fin et le CMA devrait publier sa décision avant le 16 novembre.

Les deux éditeurs doivent donc prendre en compte ce nouveau paramètre. L’échéance prévue pour cette grande transaction pourrait bien être repoussée. En outre, dans le cas où le régulateur note des irrégularités, l’enquête entrerait dans une nouvelle phase. La fusion entre les deux sociétés suédoises risque ainsi d’être retardée.

Néanmoins, une chose est sûre, la fusion entre NetEnt et Evolution Gaming changera bien le paysage de l’iGaming. À noter que les deux fournisseurs jouissent d’une excellente notoriété dans leur domaine respectif. La qualité des machines à sous et des jeux de table de NetEnt a conquis plusieurs casinos en ligne et bien entendu des millions de joueurs. Le créateur de Gonzo’s Quest s’est également attelé à développer sa gamme de jeux live casino. Evolution Gaming a réussi à asseoir une excellente réputation grâce à ses tables de jeu en direct.

Une expansion sur le marché américain

Lorsqu’Evolution Gaming a soumis une offre de rachat à NetEnt, le développeur de Lightning Roulette visait entre autres à renforcer sa notoriété sur le marché américain. Evolution Gaming possède déjà plusieurs studios de tournage implantés aux États-Unis et il s’appuiera sur le dynamisme de son nouvel allié pour affermir sa présence. En effet, NetEnt compte déjà de nombreux partenaires sur ce marché. L’éditeur suédois a par exemple conclu une collaboration avec la plateforme de paris sportifs et de jeux de casino en ligne BetMGM. Il s’est également associé à Wind Creek, un opérateur de jeux de casino basé en Pennsylvanie. Récemment, le software a signé un partenariat avec Scientific Games. Bon nombre des célèbres titres de NetEnt seront ainsi proposés par cet opérateur de jeux américain.

De son côté, Evolution Gaming a aussi recense aussi quelques partenaires aux États-Unis. Il a par exemple signé une collaboration avec le bookmaker PointsBet. Cette plateforme de jeux d’argent opère au New Jersey, dans l’Indiana, l’Iowa, l’Illinois et au Colorado. BetMGM fait également partie des partenaires d’Evolution Gaming.

La limitation des publicités de jeux d’argent sur Facebook, objet de son partenariat avec la Gambling Commission

Facebook et la Gambling Commission

Bien que cela soit strictement interdit, les publicités concernant les jeux de hasard sont encore trop nombreuses au Royaume-Uni. La Gambling Commission se donne alors pour mission de les contrôler et de les limiter au maximum. Cette entité a décidé de frapper fort en signant un partenariat avec l’un des géants des réseaux sociaux, Facebook. 

Vers une application stricte des règles

Les opérateurs de jeux d’argent le savent, les réseaux sociaux sont les plateformes les plus importantes pour faire de la publicité et attirer un maximum de clients. En raison de son extrême popularité, Facebook est le réseau le plus accessible. La Gambling Commission a décidé de nouer un partenariat avec Facebook, de manière à ce qu’il y ait moins de publicité concernant les jeux de hasard. Cette démarche rentre dans le cadre de la politique de la Gambling Commission concernant la lutte contre le jeu excessif.

Il faut préciser qu’il ne s’agit pas d’un accord pour interdire les publicités sur Facebook. Il s’agit d’un engagement de Facebook à veiller sur la qualité des messages et des offres des opérateurs, afin de protéger les utilisateurs de la prolifération des sites frauduleux. Une fois que Facebook détecte la présence d’une plateforme de jeux peu fiable, il doit faire en sorte que son exposition soit amoindrie. L’une des possibilités offertes à Facebook est de masquer les publicités sur les fils d’actualité. Avec cette option, on peut contrôler la quantité d’annonces à gérer et il sera plus facile de choisir celles qui peuvent être publiées. Par ailleurs, la Gambling Commission mettra à disposition de Facebook un guide de conseils visant à limiter les annonces liées aux jeux d’argent. De ce fait, les utilisateurs pourront ajuster leurs paramètres de sécurité pour contrôler ce qu’ils pourront voir et ce qu’ils ne pourront pas voir. L’objectif de ce guide est alors de protéger les mineurs et les adultes vulnérables contre les publicités en ligne de jeux d’argent.

Une vision commune pour la protection des utilisateurs des réseaux sociaux

Pour Rick Kelley le responsable de Facebook Global Gaming, cet accord est un excellent moyen pour « discipliner » les opérateurs de jeux d’argent. Auparavant, ces derniers organisaient leurs campagnes publicitaires sans aucun ordre établi. Désormais, s’ils veulent voir leurs offres publiées, ils devront suivre les règles très strictes en la matière. De plus pour Facebook, c’est une opportunité de contribuer à la lutte contre le jeu excessif en protégeant les utilisateurs de ses services, notamment les personnes vulnérables et les mineurs. 

Neil McArrthur, le PDG de la Gambling Commision estime qu’un partenariat avec Facebook est d’une grande aide pour l’organisme afin de fournir un maximum de conseils aux joueurs dans le cadre du jeu responsable.  En 2019, cette Commission des jeux de hasard avait déjà conclu un accord avec Twitter, un autre réseau social à très fort impact, toujours par rapport au lancement d’un guide de conseils destinés à ses utilisateurs. Donc, avec ce partenariat avec Facebook, c’est une autre étape franchie pour diminuer les publicités de jeux d’argent.

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