Evolution s’apprête une nouvelle fois à faire des vagues dans l’industrie des jeux d’argent. Le groupe envisage, en effet, de procéder au rachat de Big Time Gaming. Grâce à cette acquisition, le leader des jeux live casino devient le propriétaire des mécanismes Megaways, Megaquads et Megaclusters. Si l’accord est mené à bien, Evolution déboursera 534 millions de dollars.

Les Megaways passent dans le giron d’Evolution

Evolution est passé maître dans la conception de jeux avec croupiers en direct. Ses jeux live casino ont conquis de nombreux amateurs pour ne citer que Lightning Roulette, Monopoly Live ou encore Crazy Time. La popularité du groupe est montée en flèche si bien que les jeux signés Evolution sont désormais incontournables sur les meilleurs casinos en ligne.

Ce software ambitionne de devenir un cador des jeux d’argent en ligne. L’année dernière, il a fait l’acquisition d’un mastodonte de l’iGambling, NetEnt. Cette fusion lui a permis d’enrichir son portefeuille de jeux avec de mythiques opus tels que Gonzo’s Quest, Divine Fortune, Dead or Alive, etc.
Cette année, le groupe poursuit sa lancée et souhaite acquérir un autre éditeur, Big Time Gaming. Ce dernier s’est fait connaître sur le marché des jeux de casino en ligne avec son système Megaways. Grâce à cette technologie, les lignes de paiement sur les machines à sous ne se limitent plus à 10, 20 ou 100. Ainsi, sur les slots Megaways, les joueurs profitent de plus de 100 000 façons d’obtenir des gains. De nombreux fournisseurs ont sorti une version Megaways de leur opus pour ne citer que Gonzo’s Quest (NetEnt), Madame Destiny Megaways (Pragmatic Play), Majestic Megaways (iSoftbet), Atlantis Megaways (Reelplay), etc.

L’éditeur des Megawyas a aussi lancé d’autres technologies innovantes dont les Megaclusters et les Megaquads qui offrent d’étonnantes possibilités de victoire.

Une acquisition de 534 millions de dollars

Le groupe Evolution prévoit de concrétiser le rachat de Big Time Gaming vers la fin de ce 2ème trimestre. Le montant de la transaction est estimé à 534 millions de dollars. 70 % de cette somme sera payée en numéraire alors que les 30 % seront réglés avec de nouvelles actions du groupe. Les 2 parties ont affiché leur enthousiasme quant à la fusion de ces 2 entités. La direction d’Evolution et celle de Big Time Gaming s’accordent à dire que leurs entreprises partagent les mêmes valeurs.

Le rachat de Big Time Gaming renforcera sans doute la notoriété du groupe Evolution. Cette opération permettra aussi de conforter ses résultats financiers. Pour sa part, Evolution a réalisé une croissance de 53,4 % de son chiffre d’affaires l’année dernière. Un essor poussé entre autres par l’entrée de NetEnt dans les actifs du groupe. Le bilan pourrait donc s’améliorer pour les prochaines années étant donné que Big Time Gaming a enregistré un chiffre d’affaires de 33 millions d’euros en 2020.

Chaque entreprise met en place une stratégie pour booster son développement. La Melco Resorts, une compagnie de chaîne de casinos, a employé une méthode assez insolite. La firme a décidé d’octroyer un bonus de 10 millions de dollars à son fondateur et non moins PDG, Lawrence Ho. Cette dotation vise à inciter l’homme d’affaires à œuvrer pour la performance de son entreprise.

10 millions de dollars en actions

Melco Resorts est l’un des plus actifs et des plus prestigieux casinos terrestres. La société exploite des établissements dans les 4 coins du monde : Macao, Philippines, Chypre, etc. L’entreprise entend maintenir le cap vers la croissance et a pris une décision assez inhabituelle. Melco Resorts a attribué un bonus de 10 millions de dollars à son fondateur et PDG, Lawrence Ho. La prime se traduit en action émise par la firme, soit 484 956 actions au total d’une valeur de 20,68 dollars.

Pour les administrateurs de Melco Resorts, ce bonus exceptionnel est une forme d’incitation pour le fondateur. Ces actions constitueront une nouvelle motivation pour le PDG pour assurer le développement de la société. Dans un document adressé à l’US Securities and Exchange Commission, la compagnie de Lawrence Ho affirme que cette allocation est juste et raisonnable. L’attribution de ces actions ne sera pas effective dans l’immédiat. Une première tranche sera remise le 7 avril 2023 et le reste, une année plus tard.

L’année dernière, le chiffre d’affaires de Melco Resorts a accusé une baisse de 69,9 % à cause de la fermeture des casinos et la pandémie du Covid-19. La multinationale compte donc sur cette nouvelle stratégie pour renflouer ses pertes.

Lawrence Ho, la réussite dans l’industrie du jeu

Lawrence Ho est âgé de 45 ans et fait partie des 28 personnalités les plus riches dans l’industrie du jeu selon le magazine Forbes. L’homme d’affaires n’est pas un novice dans le milieu puisqu’il est le fils de Stanley Ho, le roi des casinos de Macao. Cependant, il ne s’est tourné vers le marché des jeux d’argent qu’en 2001 après avoir embrassé une carrière de banquier d’affaires.

En 2004, il s’associe avec James Packer, le fondateur du groupe australien Crown pour lancer Melco Crown Entertainment. 2 ans plus tard, l’entreprise remporte la dernière concession de casino à Macao. La firme jouit d’une licence valide jusqu’en 2022 qui lui garantit l’exploitation de casinos et de machines à sous illimités dans la nouvelle capitale mondiale du jeu.

La collaboration avec le groupe Crown ne dure pas et Lawrence Ho rachète les parts de son associé. La firme prend alors sa dénomination actuelle Melco Resorts. Marchant sur les pas de son père, Lawrence Ho est un homme d’affaires hors pair. Il lance des projets titanesques dont le City of Dreams of Manila aux Philippines, coûtant un milliard de dollars. À Macao, la société possède 2 célèbres enseignes du Cotai Strip, City of Dreams Macau et Studio City. Le City of Dreams Mediterranean, un programme de 667 millions de dollars, accueillera ses premiers clients en 2022.

Le Japon figure comme l’un des pays les plus joueurs de l’Asie de l’Ouest. Seulement d’après l’article 23 du code pénal au Japon de 1907, il est interdit de proposer ou de jouer aux jeux d’argent au sein du pays.

Mais la situation a changé depuis peu. En effet, un projet de loi de légalisation des casinos terrestres japonais a été adopté par le parlement en juillet 2018 pour permettre l’ouverture des casinos avant les Jeux Olympiques de Tokyo 2020. Voici un aperçu des différents jeux légalisés dans ces futurs casinos en dur de l’archipel nippon.

Les jeux autorisés par la Commission Japonaise de Réglementation

C’est au cours du 5 avril 2021 que l’Autorité de réglementation japonaise a dévoilé la liste des jeux légaux dans les hôtels-casinos qui ouvriront bientôt leur porte au pays du Soleil Levant. Dans cette fameuse liste, les joueurs retrouveront les classiques des casinos. Il y a ainsi le baccarat (2 variantes prévues), le blackjack (4 variantes prévues), le poker (8 variantes prévues), le Sic Bo, le craps, le casino war (bataille), la roulette, le pai gow et les machines à sous.

Seul petit bémol, la plupart des jeux les plus plébiscités par les joueurs japonais sont absents de cette liste : mahjong, pachislot et pachinko. Ce qui est vraiment étonnant puisque ces jeux connaissent un succès fou auprès des amateurs de jeux de hasard et d’argent au Japon. C’est particulièrement le cas avec le pachinko, un jeu combinant les principes des machines à sous et du flipper. Ce divertissement est très apprécié dans les établissements dédiés qui foisonnent un peu partout au pays des samouraïs. Sur ce genre de machine, les joueurs ne gagnent pas de l’argent. Par contre, ils peuvent obtenir d’autres récompenses comme des peluches qu’il est ensuite possible de revendre dans des échoppes prévues à cet effet.

Des restrictions pour préserver les joueurs

Outre cette liste des jeux légalisés au Japon, cette autorité compétente a aussi indiqué que des enquêtes seront menées au préalable sur les opérateurs souhaitant obtenir une licence. L’objectif étant de déterminer leur crédibilité sociale.

Après que les casinos seront ouverts, les opérateurs auront également l’obligation de lutter contre l’addiction liée aux jeux des joueurs. Dans ce cas, ils devront instaurer un bureau d’information et de consultation sur l’addiction. Mais encore, les joueurs compulsifs ne pourront pas accéder à ces salles de jeux durant au minimum un an. À cette restriction s’ajoute une limitation du nombre de leur visite dans les casinos.

Autre mesure annoncée par la Commission Japonaise de Réglementation des Casinos, c’est l’obligation de proposer dans horloges dans les établissements. Cette initiative vise à permettre aux joueurs de savoir combien de temps ils ont passé à jouer. Et pour finir, la limitation des programmes de fidélité. Pour l’heure, nous ne connaissons pas encore les détails concernant ce sujet.

Le célèbre site de jeux d’argent en ligne, Bet365, a encore fait parler de lui par le biais de sa fondatrice. Denise Coates serait la boss la mieux payée du Royaume-Uni. Cette femme d’affaires a touché un salaire de 421 millions de livres sterling durant le dernier exercice financier clôturé le 29 mars 2020. Ces chiffres ont fait couler beaucoup d’encre et ont suscité de vives réactions.

Le plus gros salaire jamais versé par une entreprise britannique

L’avenir de l’industrie des jeux d’argent est porté par les structures en lignes. Denise Coates s’en est rendu compte il y a 20 ans lorsqu’elle a investi sur Bet365. Aujourd’hui, cette plateforme de jeux d’argent et de paris sportifs est l’un des plus lucratifs au Royaume-Uni. La fondatrice récolte les fruits de ses efforts et perçoit le plus gros salaire jamais versé par une société britannique.

La femme d’affaires, qui occupe le poste de co-directrice, a reçu au total une paie de 421 millions de livres sterling durant l’exercice financier entre avril 2019 et mars 2020. En outre, elle a également touché des dividendes de 48 millions de livres sterling générées par ses 50 % d’actions dans l’entreprise. Denise Coates figure aujourd’hui dans le top 5 des femmes les plus riches du Royaume-Uni.

Les analyses fusent et certains se sont amusés à calculer le salaire journalier de Denise Coates, soit 1,3 million de livres sterling. La patronne de Bet365 reçoit une rémunération 2 360 fois de plus que le Premier ministre britannique. Au fil des années, le salaire de la fondatrice de Bet365 a progressivement augmenté. Depuis 2016, sa paie a connu une hausse de 45 %.

La situation est assez paradoxale étant donné que Bet365 a été moins performante au cours de l’exercice financier écoulé. Les compétitions sportives qui ont été annulées massivement en mars 2020 ont diminué les revenus de cet opérateur. De plus, la société a aussi grassement payé d’autres cadres supérieurs.

Stupeur et indignation

Ces révélations sur la rémunération de Denise Coates n’ont pas manqué de faire des vagues. Si d’autres estiment que c’est équitable par rapport au parcours de la femme d’affaires, d’autres considèrent que ce n’est pas approprié.

Le groupe de réflextion High Pay Center effectue des recherches et des analyses sur les revenus, la gouvernance d’entreprise et les performances commerciales. Ce groupe déclare que c’est inefficace que des individus isolés accumulent autant de richesses.

La nouvelle sur le salaire de la fondatrice de Bet365 n’arrive pas au bon moment. Plusieurs Britanniques ont perdu leur emploi ou sont en arrêt de travail à cause de la crise sanitaire. Certains affirment même que Denise Coates s’est enrichie sur le dos des joueurs abonnés à sa plateforme. Les spéculations vont bon train d’autant plus que le jeu a connu une grande ampleur depuis le début de la pandémie.

Les subventions versées par le bookmaker à GambleAware, un organisme de prévention et de lutte contre la dépendance au jeu, ont aussi fait l’objet de critiques. Bet365 a alloué 868 000 livres sterling, une somme peu conséquente au regard des émoluments de Denise Coates.

Pour résoudre un litige opposant Wynn Resorts à ses croupiers, la célèbre firme américaine s’est engagée à payer une somme conséquente. Le désaccord concerne le partage des pourboires avec les superviseurs dans les établissements de Las Vegas. En 2013, des croupiers ont lancé des procès contre la société. Wynn Resorts a proposé un accord de 5,6 millions de dollars pour mettre fin à la discorde.

Différend sur le partage des pourboires

La clientèle a pour habitude de laisser des pourboires aux joueurs. Cette pratique a pourtant généré un conflit au sein des établissements de Wynn Resorts. En 2005, la compagnie a ouvert le Wynn Las Vegas. Le casino a remporté rapidement un énorme succès et les joueurs attribuent de généreux pourboires aux croupiers des jeux de table. Cependant, le PDG du groupe d’antan, Steve Wynn a estimé que les superviseurs et les chefs de fosse devaient également bénéficier de ces pourboires.

Cette décision n’a pas fait l’unanimité. Certains croupiers se sont sentis lésés, car ils sont délestés d’une partie conséquente de leurs revenus. D’autres affirment même avoir un manque à gagner de près de 100 000 dollars depuis l’application de cette disposition. Les croupiers ont porté l’affaire devant la justice, s’ensuit alors une longue bataille juridique. Ils ont réclamé une indemnité de 50 millions de dollars, mais ont perdu le procès. En 2001, une loi sur l’illégalité du partage des pourboires a été adoptée sous la présidence d’Obama. Les croupiers reviennent à la charge. Cependant, ils n’obtiennent pas gain de cause auprès du tribunal fédéral et se tournent vers la cour d’appel. Cette fois, ils remportent le procès.

De son côté, Wynn Resorts s’adresse à la Cour Suprême des États-Unis, mais cette instance refuse de prendre l’affaire. L’entreprise fait appel au tribunal fédéral.

Règlement de 5,6 millions de dollars pour les croupiers

En 2018, la démission de Steve Wynn du poste de PDG donne une nouvelle tournure au conflit. Son successeur, Matt Maddox, prend les choses en main afin de régler le désaccord. Il instaure une nouvelle politique en accordant une augmentation de salaire de 2 dollars par heure aux superviseurs.

D’autre part, ces derniers perçoivent 12 % des pourboires avec les croupiers. La société fait valoir que les superviseurs n’ont aucune prérogative sur les croupiers que ce soit en matière de gestion ou de discipline. L’entreprise estime donc que ces employés méritent également de recevoir de pourboires. Pour la direction, cette mesure est appliquée pour éviter d’éventuels différends sur les pourboires.

Pour mettre fin au différend, Wynn Resorts a proposé un accord. L’opérateur consent à payer 5,6 millions de dollars à 1 000 croupiers qui travaillent ou qui ont travaillé dans ses établissements à Las Vegas. Cette somme inclut les frais d’administration et les honoraires d’avocat. Ce consensus a été élaboré avec un médiateur et a été cautionné par un juge.
Si les croupiers acceptent cet arrangement, chacun recevra environ 4 000 dollars. Par contre, les plaignants qui ont intenté les procès initiaux percevront 10 000 dollars chacun.

L’éditeur Microgaming s’est fait un nom grâce à ses machines à sous à jackpot progressif. Les amateurs de jeux de casino en ligne connaissent sûrement Mega Moolah, Wowpot ou encore Major Millions. De nombreux joueurs ont eu la chance de devenir millionnaire en lançant des spins sur ces slots. Le 25 mars, le software a sorti un nouveau titre qui mérite toute notre attention. Sur Wowpot Sherlock and Moriarty, le jackpot progressif commence à 2 millions €. Le jeu présente également des fonctionnalités intéressantes dont le Wild, les Mystery Symbols, les Free Spins et les Mystery Re-spins. En outre, Microgaming vous défie de résoudre l’énigme du jeu. C’est l’heure de réveiller le Sherlock Holmes en vous !

Un Wowpot à partir de 2 millions d’euros

Les machines à sous de Microgaming sont très prisées par la communauté de l’iGambling pour ses jackpots progressifs. Les sommes mises en jeu atteignent rapidement des millions. L’année dernière par exemple, un Suédois a empoché plus de 14 millions d’euros sur le mythique slot Mega Moolah. Un joueur du Royaume-Uni a par contre remporté un jackpot de plus de 1 500 000 € sur Major Millions. En 2020, l’éditeur a attribué des prix de plus de 30 millions d’euros à ses heureux gagnants.

Cette année, des fans de Microgaming espèrent devenir l’un des joueurs chanceux qui encaisseront les jackpots. Ces derniers peuvent tenter leur chance sur une vaste sélection de machine à sous à jackpot progressif. Le software a récemment lancé Wowpot Sherlock and Moriarty. 4 jackpots sont mis en jeu sur cet opus : Mini, Minor et Major. Le Wowpot offre le prix le plus conséquent avec un jackpot à partir de 2 millions d’euros. Pour activer la roue du jackpot, vous devez collecter les symboles de loupe. Ces icônes apparaissent uniquement sur les rouleaux 1, 3 et 5.

Comment tirer avantage des fonctionnalités de cette machine à sous ?

Wowpot Sherlock and Moriarty affiche une structure classique de 5×3. Microgaming a collaboré avec le studio Just For The Win pour sa conception. Les symboles représentent les protagonistes du roman de Conan Doyle. Ainsi, vous retrouverez sur les rouleaux Sherlock Holmes, son fidèle ami le Dr Watson ainsi que son ennemi juré le Profresseur James Moriarty. Vous disposez de 20 lignes de paiement pour aligner vos combinaisons.

Cette production de Microgaming est doté d’un Wild. Vous pouvez associer les divers symboles avec ce joker pour optimiser vos chances de gains. Dans le jeu de base, les Mystery Symbols sont en forme de point d’interrogation et révèlent des symboles aléatoires. Lorsque 5 Mystery Symbols ou plus atterrissent sur les rouleaux, vous déclenchez les Mystery Re-spins. Quand des Mystery Symbols ou des Wilds apparaissent, les Mystery Re-spins continuent. Quand aucun symbole spécial supplémentaire ne s’affiche plus, le jeu attribue un Final Re-spin. Tous les Mystery Symbols dévoilent les symboles cachés. Le mode Mystery Re-spins est très avantageux, car les Wilds et les Mystery Symbols restent figés sur les bobines.

Cette machine à sous dispose également de Free Spins. Les tours gratuits commencent avec 3 Scatters au minimum. Vous pouvez déclencher 10 à 18 Free Spins selon le nombre de Scatters obtenus. Le Professeur Moriarty désigne le Scatter de ce slot. Durant les tours gratuits, les Feature Symbols cachent 3 possibilités : des Sticky Wilds, des Multiplicateurs +1 ou bien des Extra Free Spins.

Force est de reconnaître que Wowpot Sherlock and Moriarty est une excellente machine à sous à tout point de vue. Reste à savoir quand le premier jackpot Wowpot tombera.

L’Autorité Nationale des Jeux (ANJ) a réalisé des enquêtes pour déterminer le comportement des joueurs durant l’année 2020. L’étude menée par Harris Interactive s’est focalisée sur la période du 2ème confinement. Les résultats montrent que les joueurs dits « historiques » ont maintenu leur rythme. Les nouveaux joueurs par contre ont éprouvé plus de difficultés à garder la maîtrise.

Les joueurs « historiques » ne sont pas bouleversés par le confinement

Le régulateur des jeux d’argent français s’est intéressé sur les impacts du confinement sur les joueurs. L’ANJ a donc chargé une société d’études marketing et de sondages d’opinion d’effectuer une enquête en ligne du 8 au 15 décembre 2020. L’enquête devait mettre en lumière la manière dont les joueurs ont vécu le 2ème confinement et comment ils ont perçu les risques d’addiction.

Les résultats ont classé deux groupes de joueurs. Les joueurs dits « historiques » sont ceux qui ont déjà pratiqué jeux d’argent durant les années précédentes. Par contre, les nouveaux joueurs sont ceux qui ont été séduits par ce type de divertissement l’année dernière.

Harris Interactive, chargé des enquêtes, indique dans son rapport que 75 % des participants affirment avoir joué pendant le 2ème confinement. La majeure partie jouent plus pour l’attrait du gain alors que d’autres évoquent une certaine habitude. Des joueurs confient également avoir lancé des jeux de hasard pour se divertir.

A priori, le 2ème confinement n’a pas bouleversé les habitudes des joueurs « historiques ». 66 % certifient avoir passer autant de temps sur les jeux qu’auparavant et 63 % dépenser les mêmes sommes.

Des signes de jeu problématique chez les nouveaux joueurs

Si la maîtrise a été au rendez-vous pour les joueurs « historiques », la situation n’est pas la même avec les nouveaux joueurs. 1 nouveau joueur sur 10 reconnaît avoir eu du mal à garder le contrôle. Cette perte de contrôle a été observée durant le 2ème confinement notamment chez les jeunes joueurs de 18 à 34 ans. Ceci concerne aussi bien les amateurs de paris sportifs, paris hippiques et de jeux de casino en ligne.

Cependant, le recours à une aide est encore faible pour les personnes présentant des signes d’addiction. 43 % des joueurs n’envisagent pas de demander de l’aide à des structures spécialisées. Certains projettent de réduire leurs pratiques alors que d’autres veulent en parler à leurs proches.

5 % des personnes ayant participé à l’enquête de l’ANJ ont misé pour la première fois sur des jeux d’argent en 2020. Plusieurs raisons expliquent ce revirement. Certains ont voulu se changer les idées alors que d’autres ont mis de l’argent de côté et souhaitent le dépenser. La plupart des nouveaux joueurs ont été satisfaits de leur première expérience dans le monde des jeux d’argent. Seuls 21 % comptent mettre fin à leurs pratiques en 2021.

L’étude préconisée par l’ANJ a montré que de nombreuses personnes se sont tournées vers les jeux d’argent en ligne. Cette situation a été favorisée par les confinements et par la fermeture des établissements de jeux physiques.

Nouveau record pour le marché des jeux de hasard en ligne en Italie. Les opérateurs enregistrent des revenus à hauteur de 162,85 millions d’euros au mois de janvier. C’est une croissance exponentielle de presque 100 % par rapport à la même période en 2019.

Les recettes augmentent pour les casinos en ligne

La tendance est toujours à la hausse pour les opérateurs de jeux de hasard en ligne. Au mois de janvier, les recettes de cette industrie atteignent 162,85 millions d’euros. Ces revenus ont été essentiellement portés par les jeux de casino en ligne et les machines à sous en ligne.

Le marché enregistre ainsi une croissance de 6 % par rapport à décembre 2020 et de 99 % comparé à janvier 2019. Cette belle croissance a été maintenue tout au long du second semestre 2020 et se poursuit jusqu’à maintenant.

Selon les statistiques communiquées, les jeux de casino en ligne ont contribué à 48,47 % des revenus. La part des paris sportifs est par contre estimée à 42,76 %.

Les magasins de paris sportifs sont restés fermés en janvier en raison des mesures sanitaires imposées par le Covid-19. Cette restriction s’est fait ressentir sur le segment des paris sportifs en ligne. Les bookmakers ont décidé de pallier leur fermeture par une offre en ligne. Cette initiative a permis à des opérateurs d’enregistrer une embellie. Ainsi, si Bet365 est passé de la 1ère à la 6ème place du classement des paris sportifs en ligne en novembre 2020, le bookmaker a pu remonter la pente. Il se place actuellement en 3ème position.

PokerStars domine le marché

Le site de jeux d’argent en ligne, PokerStars, sort du lot. Il a réussi à remporter 11 % de part de marché pour les casinos et les machines à sous. La croissance exponentielle du secteur a permis à l’opérateur de récolter près de 18 millions d’euros de recettes.

D’une manière globale, le produit brut des jeux (GGR) de l’iGambling en Italie s’élève à 335,9 millions d’euros en janvier. Les recettes ont légèrement baissé comparées aux réalisations record de décembre 2020 à raison de 359 millions d’euros.

i le marché des jeux d’argent en ligne est très prospère, le sort des établissements de jeux terrestres est déplorable. En effet, le gouvernement n’a pas encore donné son feu vert pour leur réouverture. Le nouveau Premier Ministre a récemment annoncé que les différentes salles de jeux d’argent doivent garder leurs portes fermées jusqu’au 6 avril en raison de la crise sanitaire. Une décision qui mettrait plus de 150 000 employés du secteur des jeux légaux dans une situation précaire. Ces derniers ont déjà effectué des manifestations au mois de février pour solliciter la reprise des activités. Pour l’heure, les opérateurs et les employés doivent attendre le nouveau délai pour connaître une issue.

Si l’addiction aux jeux est un fléau qui touche jusqu’à 3% de la population mondiale, le cas du Japon est spécial. Bien que les casinos aient été interdits pendant un bon moment au pays du soleil levant, une exception est faite pour le Pachinko. La présence des salles de Pachinko à tous les coins de rue semble avoir intensifier les cas de jeux problématiques. D’après des études réalisées en 2017, 3,6% des adultes japonais ont des problèmes d’accoutumance aux jeux. Pourtant, dans les pays européens, ce taux de phénomène d’addiction ne dépasse pas en moyenne les 2%. Il n’est donc pas étonnant que toutes les couches sociales soient touchées par cette dépendance au Japon. La classe la plus aisée est également touchée à l’instar du PDG de Nine & Pictures.

Des millions de yens volés et perdus au Baccarat

La société Nine & Pictures est créée à Osaka en 2007. C’est une agence de voyages qui possède un capital de grande envergure. Nine & Pictures se spécialise dans l’organisation de voyages dans des destinations de rêve. Elle propose des escapades à Macao, aux Philippines, au Queensland et au Nevada. Durant l’année 2014, son président fondateur a décaissé dans le compte de la société la somme de 350 millions de Yens. Ce retrait de fons a eu lieu pendant la période florissante des vacances de juillet à septembre.

La même année, au mois de novembre, il dépose une grosse somme d’argent en garantie dans un casino à Macao. Un solde de 150 millions de yens qui équivaut à 2,78 millions d’euros a été versé via une société locale. Une garantie que le manager perd en totalité deux ans après, en jouant sur une table de Baccarat. Ce détournement d’argent ne sera découvert et signalé par la société qu’en septembre 2019. Cependant, le PDG a une dette de 500 millions de Yens et se trouve dans l’incapacité de restituer cet argent. La société engage les poursuites judiciaires.

Une affaire récurrente

Comme il a été mentionné plus haut, la situation de l’addiction aux jeux est critique au pays du soleil levant. Les personnes aisées ne sont pas épargnées par cette dépendance. L’affaire du groupe Diao est sans aucun doute l’un des cas les plus célèbres . Diao Paper est une entreprise de fabrication de mouchoir et de serviettes hygiéniques qui existe depuis 1929. En 2011, son président Mototaka Ikawa, a été arrêté pour détournement de fonds et condamné à 4 ans de prison ferme. Le petit-fils du fondateur de la société a perdu près de 140 millions de yens aux jeux.

Par ailleurs, le fléau ne touche pas uniquement les hommes d’affaires, mais également les femmes. Cette fois-ci, l’histoire se passe en Australie, en 2018. Jocelyn Zakhour, une femme de 45 ans a réussi à extorquer 800 000 dollars à des Australiens sur Tinder. Elle leur a emprunté de l’argent en les faisant croire à un investissement pour une plantation de myrtilles. Zakhour a dilapidé tout son argent dans un casino et a écopé de 4 ans et demi de prison.

Une chose est sûre, le casino Hard Rock à Bristol va avoir des histoires bien trempées dans son background. Après les aléas rencontrés au cours du vote de validation du projet par la population, cette fois, le début de travaux de construction est repoussé. L’ouverture officielle de cet établissement a été annoncée pour le printemps 2022. Cependant, le groupe Hard Rock s’est vu dans l’obligation de réviser son calendrier. Un changement de délai qui ne relève pas de son ressort.

Des débuts difficiles

Dans un État aussi conservateur et à la limite suprémaciste comme la Virginie, l’implantation d’un casino a longtemps été non envisageable. Le 3 novembre 2020, les habitants de Bristol sont pourtant appelés aux urnes pour s’exprimer sur ce sujet. Le partenariat entre le Bristol Resort & Casino et le Hard Rock International a mené vers un projet de casino avec une capacité d’accueil de 23 000 clients. Bien que les électeurs aient approuvé avec une majorité écrasante la création de cet établissement, une minorité religieuse s’y oppose fermement.

4 Églises se sont alliées pour mener une grande campagne contre cette initiative du complexe hôtelier de Bristol. Elles sont convaincues que cette industrie n’a pas sa place dans la ville étant donné les effets néfastes des jeux. Malgré la détermination de l’opposition, le casino sort vainqueur de la bataille et s’avance vers les prémisses de la construction. Peu de temps après, Hard Rock affronte une nouvelle difficulté. Les travaux de construction ne peuvent pas commencer à temps.

La date d’ouverture repoussée

Ce ne sera donc pas au printemps 2022 que les portes du premier grand casino de Virginie vont s’ouvrir au public. Contrairement aux expectations, les problèmes rencontrés par la société Hard Rock à Bristol ne sont pas liés aux confessions religieuses. Le groupe Hard Rock fait face à des lourdeurs administratives. En effet, l’obtention de la licence du nouveau casino de Bristol s’avère être plus lente que prévu.

Dans son calendrier initial, la réception de la licence de jeu est annoncée pour le premier trimestre 2021. Dans les faits, cette licence met plusieurs mois à être octroyée. Suite à cet imprévu, la multinationale a avancé un plan de secours afin d’éviter toute déception. Elle a voulu mettre en place un casino temporaire pour divertir les habitants de Bristol. Toutefois, le Hard Rock se heurte au même problème et se retrouve face à une unique issue : l’attente.

Un casino favorable à l’économie de la ville

Bristol est l’une des 4 grandes villes de l’État de Virginie. Elle est l’une des plus grandes victimes de la crise des Subprimes. Son taux de pauvreté dépasse les 20% en 2017, accompagné d’un taux de chômage de 5% l’année suivante. Avec cet investissement estimé à 4 millions de dollars, la métropole a toutes ses chances de sortir la tête de l’eau.

Les promoteurs du projet affirment la création de 2 000 nouveaux emplois à terme. De plus, le casino envisage un salaire mensuel moyen de 3 700 dollars par personne. Cette rémunération équivaut au double du salaire intermédiaire d’un employé de la ville qui est d’environ 2 000 dollars.