Gal Yifrach reconnu coupable de blanchiment d’argent et de jeu illégal

Figure connue des amateurs de WSOP, Gal Yifrach encourt aujourd’hui une peine de 25 ans de prison. Ce célèbre vainqueur de tournois de poker s’est fait connaître à la suite de ses apparitions répétées dans des émissions télévisées. De notoriété publique, Yifrach semble être un homme stable et honnête.

Gal Yifrach encourt une peine de prison pour jeux illégaux

Un vaste réseau de tromperie

L’acte d’accusation daté du 3 mars 2022 mentionne la complicité de 3 personnes pour jeu illégal et complot en vue de blanchir de l’argent. Outre Gal Yifrach, la police américaine suspecte Shalom Ifrah et Nick Shkolnik. Ce dernier, tout comme Yifrach, a remporté une bague du tournoi WSOP.

Le Federal Bureau of Investigation et le California Department of Justice – Bureau of Gambling Control procèdent à l’inculpation. Les autorités ont été prévenues d’une suspicion d’activité illégale effectuée par Yifrach. Par conséquent, elles surveillent les communications du joueur depuis un certain temps. L’écoute du téléphone portable et les messages échangés de ce professionnel du poker ont permis de prouver l’infraction.

Ces accusations démentent la bonne réputation qu’Yifrach s’est efforcé d’établir. En octobre 2021, il achète des pages de publicité dans des médias connus. L.A Weekly, Jerusalem Post et Vents le décrivent comme un modèle. L’article paru dans Vents en parle comme d’une « source d’inspiration pour les gens ». Il affirme vouloir « encourager les autres à devenir les meilleures versions d’eux-mêmes et à être généreux et humbles ».

Des méthodes ingénieuses, mais illégales

L’enquête montre que Yifrach est à la tête d’un réseau de machines à sous sans licence depuis 2018. L’accusé a continué cette activité illégale jusqu’en 2020. Par ailleurs, les 3 hommes se rendent coupables de blanchiment d’argent pour camoufler la provenance illicite de leurs revenus.

Pour nettoyer l’argent, les compères ont eu recours à plusieurs méthodes. Par exemple, ils donnent des liquidités à un complice dénommé « Individu 6 » qui les échange contre un chèque. Ces papiers proviennent de 2 entreprises qui restent non identifiées à ce jour.

Dans des messages interceptés, Ifrah laisse entendre qu’ils utilisent cette machination depuis un certain temps. En effet, à un moment, le champion de poker parle de « nettoyer l’argent ». Shalom Ifrah lui répond alors qu’il faut « continuer à s’enregistrer en tant qu’employé d’une entreprise et remettant des chèques en espèces ».

Une autre méthode appréciée par Yifrach fait intervenir des casinos légaux. En octobre 2018, Yifrach et Ifrah échangent 150 000 $ contre des jetons et les convertissent en chèque auprès d’un établissement de jeux d’argent. Celui-ci s’avère être le « Casino 1 ».

En novembre 2018, Yifrach recommence la même manœuvre avec un peu plus de 200 000 $. Ensuite, il effectue un versement dans sa banque et utilise l’argent pour des placements immobiliers. Les fédéraux identifient le Casino 1 comme un complexe de jeux de hasard situé à Bells Garden, en Californie.

Les accusés, dont Yifrach, risquent 5 ans de prison et 250 000 $ d’amende pour avoir mené des activités de jeu illégales. En outre, la peine pour complot pour blanchiment d’argent est de 20 ans d’emprisonnement. Tout de suite après l’inculpation, le gouvernement américain a saisi 320 000 dollars en espèces et 4,249 754 36 en Bitcoin appartenant à Yifrach.

888 obtient sa licence de jeux pour l’Ontario

La société de jeux d’argent en ligne 888 Holdings PLC dispose désormais de la licence dispensée par l’AGCO (Commission des Alcools et des Jeux de l’Ontario). Cette attestation lui permet d’exporter ses produits vers cet État nouvellement réglementé. Cette autorisation marque une étape importante dans l’épanouissement de 888.

888 fait partie des premiers opérateurs licenciés par l'Ontario

Une promesse de développement pour 888

Le régulateur des jeux d’argent en Ontario prévoit le lancement du marché de l’iGaming pour avril 2022. Ainsi, il octroie les premières licences aux sociétés qui en ont fait la demande, afin de respecter ce calendrier. 3 acteurs de l’iGaming : Rivalry Corp., PointsBet et theScore possèdent déjà la licence d’exploitation pour l’Ontario.

888 devient alors l’un des premiers opérateurs à pouvoir se vanter de détenir cette attestation. Itai Pazner, PDG de 888 Holdings PLC annonce la bonne nouvelle dans un communiqué de presse. Il explique que le groupe attend l’ouverture officielle du marché canadien des jeux d’argent en ligne avec impatience.

En effet, Pazner considère l’Ontario comme « une opportunité de croissance à long terme attrayante pour 888 ». Ce dernier assure qu’il va présenter des produits de qualité et des contenus riches aux joueurs ontariens. Cette autorisation permet à 888 de continuer son expansion à travers le monde. En outre, l’obtention de la licence de l’Ontario correspond à l’un de ses objectifs. Étant donné que ce but consiste à « renforcer notre présence et notre offre aux clients sur les principaux marchés réglementés ». 888 se prépare au lancement, notamment en se concentrant sur le leadership. Cette stratégie vise à donner des « expériences uniques et différenciées aux joueurs ».

888 : un développement sûr

Actuellement, 888 Holdings LPC possède plusieurs autorisations qui lui ouvrent le marché des jeux de hasard virtuels de 19 pays. 7 États américains font partie des juridictions desservies par la société. Cependant, le groupe a dernièrement connu des difficultés.

Le régulateur britannique (UKGC) a menacé de lui infliger une amende. Cette mesure aurait pour origine des manquements aux obligations inhérentes à sa licence. L’autorité estime que 888 a failli aux devoirs de lutte contre le blanchiment d’argent et à la protection des joueurs. Une telle accusation entache gravement sa réputation. Cela risque même de lui fermer d’autres opportunités de licences dans des pays différents.

Cependant, 888 a répondu à l’attaque avec calme. Pazner illustre la maturité du groupe en acceptant toutes les charges émises contre la société. Le 1er mars, 888 a effectué une annonce dans laquelle il reconnaît sa responsabilité.

’opérateur affirme que les irrégularités constatées par l’UK Gambling Commission (UKGC) appartiennent au passé. 888 n’a pas attendu longtemps pour se mettre aux normes britanniques. Selon ce premier responsable, la marque a pris des mesures pour réparer ses erreurs tout de suite après l’évaluation de conformité menée en octobre 2020.

Le groupe 888 Holdings LCP s’engage à intensifier les procédures de contrôle de provenance des fonds des joueurs. De plus, il investit dans des formations et des logiciels pour garantir une meilleure conformité aux normes imposées par l’UKGC. Fort de cette expérience, 888 entend appliquer la même rigueur dans tous les pays où il prévoit de s’installer.

L’ANJ peut bloquer les sites non agréés sans passer par la justice

Plus rapide et plus efficace. Voilà en quelques mots comment l’ANJ, Autorité Nationale des Jeux, espère désormais agir dans la lutte contre les plateformes de jeu illégales. En effet, une toute nouvelle loi autorise le régulateur à ordonner aux fournisseurs d’accès internet (FAI) le blocage de ces sites. Et ce, sans devoir passer par un juge. La France marche ainsi dans les pas de plusieurs autres pays européens, où des libertés similaires existent.

Ces mesures font partie intégrante du projet de loi « démocratiser le sport en France ». Ce code veut imposer le sport comme facteur de santé publique. Si le texte table grandement sur le football, le secteur du jeu d’argent n’y a pas échappé. Surtout quand l’ANJ travaille d’arrache-pied sur de nouvelles stratégies pour endiguer les jeux illégaux ces derniers mois.

Très énergique, le régulateur a réussi à faire bloquer pas moins de 232 noms de domaine liés à 100 sites de jeux d’argent dans le courant de 2021. La grande majorité de ces sites sont de type casino, indique-t-on. Cette nouvelle réglementation devrait permettre à l’ANJ d’améliorer ces résultats.

L'ANJ peut désormais bloquer des sites de jeux illégaux

Une procédure de blocage allégée

L’ANJ aura dorénavant plus de prérogatives dans la lutte contre les sites de jeux d’argent non répertoriés. Le régulateur français possède de nouvelles prérogatives depuis la promulgation de la loi au début mars 2022.

Concrètement, lorsque l’ANJ identifie un site de jeu illégal. Elle lui adresse une lettre de mise en demeure avec un délai de 5 jours pour cesser toutes activités en France. Passé ce délai, le régulateur aura le pouvoir d’ordonner aux fournisseurs d’accès internet (FAI) de bloquer le site en question.

Dans la foulée, l’ANJ n’aura plus à fournir la preuve que la plateforme de jeu proposait explicitement des services aux Français. Auparavant, l’ANJ devait passer par la justice, qui allait se charger de prescrire au FAI de bloquer tel ou tel site. Bloquer des sites illégaux est donc passé d’une procédure judiciaire à une procédure administrative.

La loi arrive à point nommée, alors que l’ANJ fait du combat contre le jeu illégal sa priorité pour 2022. Ce changement représente une grande avancée, car il vient renforcer la capacité d’action du régulateur. Sur son site internet, ce denier se réjouit de pouvoir agir plus rapidement contre des sites qui présentent d’énormes risques « d’addiction, de fiabilité des opérations de jeu et de blanchiment de capitaux ».

Les influenceurs également touchés

Ce projet de loi s’attaque largement aux divers acteurs du milieu. Ainsi, les influenceurs et les créateurs de contenus auront également à mesurer leurs propos. De nombreuses personnalités influentes sur les réseaux sociaux font la promotion de sites de jeux d’argent non agréés par l’ANJ. Ce dernier aura alors le pouvoir de leur adresser une lettre de mise en demeure pour les obliger à supprimer leurs contenus.

Il en sera de même pour les sites et blogs qui font la publicité pour des offres de jeux d’argent, et qui pourront être bloqués, quand la mise en demeure ne les aura pas motivés à arrêter.

Récemment, l’ANJ est plusieurs fois montée au créneau pour recadrer les acteurs du milieu. Cet allégement des procédures de blocage fait suite, par exemple, au renforcement du contrôle des publicités sur les jeux d’argent autorisés.

Le régulateur australien sanctionne un pub

L’Independent Liquor and Gaming Authority (ILGA) condamne un pub australien à une amende de 107 358 dollars australiens. Une enquête révèle que cet établissement incite les visiteurs à jouer. Pour ce faire, il emploie divers stratagèmes, dont la distribution gratuite de produits.

Sanction d'un pub australien par le régulateur local

Une dénonciation provenant d’un directeur licencié

L’hôtel Rose and Crown de Parramatta subit une enquête de l’autorité de régulation après une dénonciation. L’origine de l’alerte cache une situation assez cocasse.

La déclaration provient de Samantha Glynn. Elle était gérante de l’établissement en 2018. Cependant, l’hôtel décide de se séparer d’elle. Glynn, en proie à la colère, rapporte alors les actions malhonnêtes du pub.

Toutefois, son renvoi fait suite à des accusations de vol. Une enquête interne a démontré que la responsable a subtilisé au total 400 000 dollars australiens quand elle était en fonction. Elle a trafiqué les machines de poker pour en retirer subrepticement cette coquette somme. Son affaire est entre les mains de la police de Nouvelle-Galles du Sud. L’ancienne gérante écope d’une ordonnance correctionnelle de 18 mois.

Ces faits n’empêchent pas Phil Crawford, le président de l’ILGA, de Samantha Glynn pour avoir porté plainte. Il assure que les informations fournies ont accéléré l’enquête et son dénouement.

Des actions nettement répréhensibles

Le Rose and Crown se trouve dans le Grand Ouest de Sydney. Le régulateur constate des agissements clairement incitatifs de la part de toute l’équipe de l’établissement.

Phil Crawford résume les faits : « L’hôtel facilitait essentiellement les avances de fonds pour le jeu via un système de fausses transactions. C’est un risque évident pour le jeu problématique. » Concrètement, le personnel distribue des cigarettes et des boissons gratuites pour que les joueurs ne partent pas.

Par ailleurs, tous les employés ont prêté de l’argent à des joueurs afin qu’ils puissent continuer leurs parties. Les fonds provenaient du coffre-fort de l’hôtel. Ainsi, un gardien de sécurité a donné 800 $ australien à un parieur. De même, un des gérants en a octroyé 8000.

De plus, les joueurs ont pu effectuer des retraits de plus de 145 000 dollars australiens sur le distributeur automatique. Selon le régulateur, l’hôtel n’applique aucune action pour la lutte contre le jeu irresponsable. Au contraire, il encourage des pratiques dangereuses pour l’intégrité mentale du joueur.

Des sanctions à la hauteur de la faute

L’amende de plus de 100 000 dollars australiens revient à RC One Pty Ltd à qui appartient la licence du pub. L’ILGA qualifie Damian Kelly, le propriétaire, de « inapte à être un proche associé du titulaire de licence ».

Le directeur et le gérant subissent aussi des sanctions. Le directeur de l’établissement, Paul Camkin, doit payer une amende de 10 000 dollars australiens. De surcroît, il perd sa capacité à être titulaire d’une licence. Enfin le régulateur lui interdit de gérer un hôtel pendant 1 an.

Jason Marlow, le directeur de la société chargée d’assurer la gestion de Rose and Crown reçoit une réprimande. En dernier lieu, les fautifs doivent payer les frais d’enquête. Par conséquent, les personnes citées ci-dessus écopent d’une facture de 30 000 dollars australiens. Cette somme sert à couvrir les dépenses engagées par la Direction du service client (DCS).

Gain record de 440 000 € sur HippoPop PopWins

Un Brésilien a réduit à néant le maximum de gains possible sur HippoPop Popwins. Cet individu a réussi à empocher plus du double de la prévision d’Avatar UX, le développeur du jeu. Ainsi, il a remporté environ 440 000 € en réalisant une prouesse qui tient du miracle.

Un joueur reçoit un prix record sur HippoPop PopWins

Un tour de force

En partenariat avec Yggdrasil, l’éditeur de jeux Avatar UX a lancé le HippoPop PopWins en 2021. À titre d’information, cet opus avance 65 536 lignes de paiement. En outre, il est inspiré de sculptures d’animaux qui prennent vie dans une jungle sauvage.

D’après la déclaration officielle du fournisseur, cette machine à sous peut octroyer jusqu’à 48 150 fois la mise. En vérité, le développeur est arrivé à cette conclusion après avoir simulé un nombre phénoménal de parties de jeu. De cette manière, il établit ce record qui s’est produit 1 fois sur 1 000 000 000 de sessions.

À l’évidence, la chance de reproduire cet exploit est très faible, voire nulle. Pourtant, un joueur brésilien a pulvérisé le pronostic d’Avatar UX en un clin d’œil. Et mieux encore, il a multiplié son pari initial par environ 107 573. Ce qui représente une somme prodigieuse par rapport aux prédictions de l’inventeur du jeu. Laissant ce dernier sans voix, mais dans le sens positif du terme.

Concrètement, l’heureux gagnant a placé 25 R $ (réal brésilien) pour ce tour mémorable. Plus tard, il a collecté 2 689 337,50 R $, soit l’équivalent de 440 782 €. De surcroît, ce parieur a obtenu ce prix record sur HippoPop PopWins à travers 11 Free Spins.

Certains amateurs de machines à sous ne sont pas encore convaincus par l’immense potentiel la gamme PopWins. Mais cette nouvelle devrait les aider à voir cette slot sous un autre angle. Désormais, HippoPop PopWins est dans la ligne de mire des chasseurs de grosses récompenses.

Les spécificités d’HippoPop PopWins

Tout d’abord, il faut expliquer le principe de PopWins pour comprendre le fonctionnement de cette machine à sous. En bref, lorsqu’un symbole participe à une formation rémunératrice, il disparaît et 2 autres symboles viennent le remplacer.

Ce système avalanche permet aux joueurs d’amasser plus de gains sans miser et d’augmenter le multiplicateur de paiement. De ce fait, la grille de HippoPop PopWins peut s’étendre jusqu’à 6 rangées lors du jeu de base. Durant les tours gratuits, elle peut toutefois atteindre 8 rangées.

Pour ce qui est des Free Spins, les joueurs peuvent les débloquer dès que tous les rouleaux contiennent 6 cases. Et c’est de cette manière que le Brésilien a entamé son parcours notable avec un multiplicateur initial de x9.

Au début, il a obtenu les 5 tours gratuits prédéfinis. Avant d’enclencher ces sessions, le jeu propose une roue de bonus qui accordent plus de tours. Ainsi, l’heureux élu a pu tourner la roue 2 fois, le maximum autorisé. Par conséquent, ses Free Spins sont passés de 5 à 9. Par la suite, il a même reçu 2 Spins supplémentaires.

À chaque combinaison lucrative, le multiplicateur de paiement décuple de 1. À l’issue des tours gratuits, le multiplicateur du joueur brésilien s’est élevé à x25.

Visiblement, ce n’est pas le seul facteur qui l’a mené vers cette victoire. En effet, le symbole de l’hippopotame doré lui a donné un énorme coup de pouce. Cette icône spécifique a la possibilité d’accorder des multiplicateurs x2, x3 ou x4. Toutes ces fonctionnalités réunies ont permis à la vedette de cet article de réaliser son prix record sur HippoPop PopWins.

Casino Joa : un joueur décroche 2 jackpots sur le même jeu en quelques heures

Comme dit la sagesse populaire, une chance en amène une autre. Ce vieux proverbe a été prophétique pour un client du casino Joa du lac du Der. Le mercredi 16 février, un seul et unique joueur a réalisé deux gains successifs, sur la même machine et à quelques heures d’intervalle seulement. Cet heureux gagnant est rentré chez lui avec la bagatelle de 69 000 €.

Le casino Joa du lac du Der enregistre 2 jackpots sur un même jeu

Deux jackpots successifs

La nouvelle a été communiquée par le casino sur son compte Facebook au lendemain de ce gain extraordinaire. Car si la somme obtenue n’est pas faramineuse, les circonstances qui l’entourent en font un événement hors du commun.
Ce jour-là, le joueur tentait sa chance sur la machine Game King au casino Joa du lac du Der. Il remporte alors 32 000 €. On aurait cru que cette belle somme lui aurait suffi. Mais l’histoire a démontré le contraire. Il continue de jouer. La chance a décidément été de son côté, car il récolte 37 600 € quelques heures plus tard. Au total, ce sont 69 600 € que ce bienheureux empoche en une seule soirée. En revanche, on ignore la valeur de ses mises pour arriver à un si beau résultat.

De plus, le gagnant a demandé à taire son identité. On ne sait donc rien de lui, ni même s’il s’agit d’un joueur ou d’une joueuse.

Les jackpots de 2022

Ce double gain n’est pas un événement banal, bien qu’il fasse pâle figure aux côtés des sommes à sept chiffres de certains jackpots. En fait, il fait partie d’une série de jackpots fréquents décrochés par les joueurs de ce casino marnais.
À peine une semaine avant ces jackpots successifs à 32 000 et à 37 600 €, la chance avait déjà favorisé une joueuse. Elle a encaissé 42 000 €, soit le plus gros gain enregistré au casino durant février 2022. La chanceuse est une grande habituée des lieux, indique-t-on.

Depuis le début de l’année 2022, le casino a vu tomber pas moins de 18 jackpots de plus de 10 000 €. 10 d’entre eux ont été réalisés sur les trente derniers jours.

Les machines à sous avec une mise minimale de 0,01 euro ont attribué la majeure partie de ces gros lots.

Le casino Joa du lac du Der

Envie de tenter votre chance ? Le casino Joa du lac du Der vous ouvre ses portes. Avantageusement situé au bord de ce lac de la Marne, l’établissement accueille les joueurs tous les jours à partir de 10 h. À seulement 1 h 30 de Nancy, un assortiment de divertissements est à disposition de tout amateur de jeux. En plus d’un important parc de 135 machines à sous, le casino propose des tables traditionnelles de blackjack et de roulette.

Pour un séjour sans encombre, il faut savoir que le pass vaccinal est en vigueur au casino Joa. Il faudra présenter une certification de vaccination ou de contre-indication à la vaccination pour entrer.

Suède : « Games need rules » veut décourager l’usage des sites de jeux non licenciés

Depuis 2021, la Suède lance de grandes initiatives pour encourager les parieurs suédois à se tourner vers des casinotiers licenciés. Baptisée « Games need rules », cette campagne est une offensive contre les sites offshore qui opèrent tranquillement dans le pays. Orchestrée par le Spelinspektionen, l’autorité suédoise de régulation des jeux, cette sensibilisation présente les avantages des plateformes agréées en Suède.

La Suède lance la campagne Games need Rules

Des courts-métrages pour sensibiliser

Pour lancer cette campagne, l’autorité suédoise de régulation des jeux mise sur trois courts-métrages diffusés sur les réseaux sociaux. Chacun de ces courts-métrages met en scène des situations où des personnes jouent à un jeu de société, trichent et créent leurs propres règles. Allégoriques, ces mini-films sont teintés d’humour. Anders Lundin, star de la télévision et comédien suédois, a mis son talent à contribution : il prête sa voix au slogan de la campagne.
L’idée est de montrer à quel point il est dangereux de ne pas respecter les règles. Les films montrent également que tricher n’est pas aussi inoffensif qu’on le croit.

À terme, la campagne souhaite faire comprendre qu’il est plus sûr de jouer sur les sites licenciés en Suède, et donc soumis à la législation du pays. Un film d’information plus long est également en préparation. Il répond aux objectifs de « Games need rules » de présenter les avantages des plateformes de jeux légales. Le changement attendu étant que les parieurs fassent des choix plus éclairés.

Une opération loin d’être isolée

La campagne « Games need rules » fait partie d’un schéma plus global dans la lutte contre les opérateurs illégaux. Le Spelinspektionen se concentre actuellement sur l’importance de la responsabilité sociale et la prévention de la dépendance au jeu. Entre autres actions entreprises, le site spelapus.se a été mis à jour pour être plus facile à utiliser. La plateforme permet à n’importe qui de limiter ou de bloquer ses paris.

Pour renforcer son champ d’action, Spelinspektionen travaille également avec trois autres entités étatiques suédoises : Skatteverket (agence fiscale), Finansinspektionen (agence de régulation financière) et Konsumentverket (agence aux consommateurs). En 2021, 24 opérateurs danois ont par exemple fait les frais de cette collaboration. Enregistrés à Curaçao, ils auraient proposé leurs offres au public danois sans autorisation. De fait, leur adresse IP a été bloquée. Des injonctions de paiement ont été lancées à leur encontre. La dernière en date concerne la société Disrupt Entertainment (Casinosinners, Blitzspins Casino).

La réglementation des jeux de hasard est actuellement au cœur des préoccupations des politiques suédoises. Le mois dernier, des réformes ont été proposées. On peut citer le renforcement de la protection des parieurs et l’exclusion des joueurs illégaux des plateformes suédoises. Les publicités agressives concernant des jeux jugés dangereux sont aussi visées par ces réformes. Leur entrée en vigueur est prévue pour 2023.

Joker Millions : un joueur remporte un jackpot de 6 millions d’euros

L’année 2022 commence en beauté pour un fan des slots Yggdrasil. En effet, il a empoché un jackpot de 6 026 723 euros sur Joker Millions. Il devient ainsi l’heureux gagnant du deuxième plus gros gain de l’histoire de cette vidéo slot !

La chance sourit quand on ne s’y attend pas

Cette chance inouïe frappe le joueur finlandais le 2 janvier 2022. En ce deuxième jour de l’année, il multiplie les spins sur Joker Millions depuis son smartphone. Il devient alors millionnaire en quelques instants. Malheureusement, on n’en sait pas plus sur lui.

Stuart McCarthy, responsable produit et programme chez Yggdrasil, se réjouit de cet heureux événement. À l’en croire, l’éditeur n’aurait pu demander meilleur augure pour commencer l’année. Il se dit satisfait de voir à quel point les joueurs apprécient Joker Millions. Toujours selon McCarthy, le succès de cette machine à sous, conjugué à celui de ses autres titres, prouve queYggdrasil a conçu une formule qui marche.

Joker Millions, une slot populaire et généreuse

Ce n’est pas la première fois que Joker Millions donne de si bons résultats. En 7 années d’existence, le jeu a déjà récompensé plusieurs joueurs chanceux. En 2018, un Suédois avait gagné l’incroyable somme de 3,48 millions d’euros en pariant 70 cents depuis son smartphone.

Cette générosité a rendu la machine à sous très populaire. Mais pas seulement. Ses fonctionnalités sensationnelles lui ont également valu la préférence des joueurs. Joker Millions est la première machine à sous d’Yggdrasil à intégrer le jackpot progressif.

Joker Millions fait actuellement partie des machines à sous préférées des joueurs, aux côtés de Dr Fortuno, Holmes and the Stolen Stones, Jackpot Express, Ozwin’s Jackpots, Jackpot Raiders, Frost Queen Jackpots, Empire Fortune ou encore Atlantean GigaRise.

Ce qu’il faut savoir sur Joker Millions

Yggdrasil lance Joker Millions en 2015. Ses 5 rouleaux et ses 25 lignes de paiement ne la différencient pas vraiment des autres machines à sous de l’éditeur. Ses symboles reprennent les fruits, les cloches et les 7 des machines à sous classiques. Sa grande particularité : son jackpot est progressif.

Habituellement, le jackpot est une somme que l’opérateur fixe. Quand il est progressif, une partie de chaque mise des joueurs s’ajoute au pot de départ. Plus on mise, plus la cagnotte grimpe et plus on peut gagner gros. Même si elle est la première machine à sous à jackpot progressif produite par Yggdrasil, Joker Millions continue de susciter l’engouement des joueurs. Et ce malgré le lancement d’autres slots progressives.

Remporter le jackpot se fait en quelques étapes très simples. Pour cela, il est impératif d’accéder au mode Jackpot Spins Bonus. Obtenir 5 symboles joker permet d’y parvenir. Une fois qu’on y est, il faut que 15 symboles joker apparaissent en même temps sur les rouleaux pour décrocher le jackpot.

Il est possible de tenter sa chance de nombreuses fois. En effet, on gagne un autre spin à chaque fois qu’un symbole joker atterrit sur l’un des rouleaux. Qui sait, la chance attend peut-être son heure au prochain spin !

Australie : augmentation du nombre de joueurs en ligne

L’ACMA (Australian Communications and Media Authority) publie les résultats d’une étude menée en 2021. Ce rapport montre un accroissement du nombre de joueurs virtuels australiens sur les sites de jeux d’argent. L’autorité pointe du doigt la pandémie de Covid19, mais également une politique marketing plus performante.

Un joueur sur une machine à sous en ligne

11 % des Australiens jouent sur les casinos en ligne

L’étude révèle que plus d’un Australien sur 10 a déjà joué sur une plateforme de jeux d’argent en ligne. Les statistiques indiquent que 11 % de la population s’adonne aujourd’hui à ce type de divertissement. En 2020, ce chiffre n’affiche que 8 %. Par ailleurs, les Australiens sont également plus nombreux à apprécier les paris sportifs. 8 % ont misé de l’argent sur des courses contre 5 % en 2020.

Le confinement entraîné par la pandémie de Coronavirus constitue l’une des causes de cet accroissement. 16 % des habitués admettent avoir augmenté leur fréquence de jeu durant cette période. Les non-joueurs se sont tournés vers ces loisirs à cause de la suppression des activités en extérieur.

Zoom sur les services d’affiliation

Par ailleurs, les services d’affiliation participent grandement dans la promotion des jeux de hasard virtuels. L’ACMA a également effectué une étude de bureau concernant ces services. Ces derniers proposent de commercialiser un produit pour une société, en prenant des commissions. Ce procédé est souvent pratiqué dans le secteur de l’iGaming.

L’affilié travaille alors pour promouvoir les jeux d’argent en ligne. Par exemple, il place des liens et des publicités pour une meilleure visibilité d’un site en particulier. L’ACMA découvre que les pourcentages perçus par les services d’affiliation augmentent lorsqu’il s’agit d’iGaming. Enfin, le rapport de l’autorité de communication pointe les médias sociaux et les streaming du doigt. Selon l’enquête, ces supports servent de plus en plus à attirer les joueurs vers les jeux de hasard virtuels.

L’étude de l’ACMA fait partie de son programme de recherche. L’autorité lance une enquête annuelle afin de déterminer l’évolution de l’iGaming en Australie. L’organisme établit ensuite un communiqué qui relate les changements dans les habitudes des joueurs ou la transformation de la nature des jeux de hasard proposés. En outre, il examine l’interaction de la population avec les services de communication et de médias.

Les responsabilités de l’ACMA

L’ACMA a pour but de protéger les Australiens des méfaits associés aux jeux d’argent en ligne. En 2017, l’autorité débute une chasse aux jeux étrangers illégaux. Cette traque lui a permis de contribuer au blocage de plus de 300 sites de jeux d’argent. De plus, une vingtaine de services d’affiliation ont été fermés. L’ACMA agit en vertu de l’Interactive Gambling Act 2001. Cette loi régule le marché australien des jeux de hasard virtuels.

Chaque année, l’ACMA établit une liste de priorités. Elle sélectionne des domaines divers qui doivent apporter des améliorations à leurs offres. L’étude des services d’affiliation encourage cette autorité à se focaliser sur les services d’affiliation. L’ACMA va s’attacher à déterminer la légalité des partenaires de ces sociétés et leur implication dans le secteur australien de l’iGaming. Par ailleurs, elle va se concentrer sur les escroqueries par téléphone et le traitement des réclamations Telco. La commercialisation des services financiers et la protection des clients vulnérables constituent également des points qu’elle va améliorer.

Norvège : Kindred doit se retirer ou payer une amende

L’autorité de régulation norvégienne menace d’infliger une amende qui peut aller jusqu’à 437 millions de couronnes à Kindred. Il accuse cet opérateur d’introduire des jeux d’argent virtuels illégalement dans le pays, via Trannel International. Le tribunal a déjà rendu une décision en défaveur de Kindred, qui continue malgré tout son exploitation.

Kindred sera sanctionné par le régulateur norvégien

Injonction d’arrêt émise par l’autorité norvégienne

La NGA (Nowegian Gaming Authority), ou Lottstift, en norvégien prévient Kindred. Elle va lui appliquer une amende coercitive jusqu’à l’arrêt complet des activités illégales de Trannel. Cette peine peut atteindre 1,2 million de couronnes par jour. Le plafond correspond au revenu brut de Trannel, qui est évalué à 437 millions NOK.

Trannel International, filiale du groupe Kindred, cible des joueurs norvégiens, alors qu’elle ne dispose pas de licence d’exploitation. En effet, les sites sont disponibles en norvégien, avec des paiements en couronnes norvégiennes. Par ailleurs, Kindred est présent sur des chaînes étrangères, mais diffusées en Norvège, et passe de la publicité. De plus, le groupe utilise les réseaux sociaux norvégiens et des services de presse du pays pour se faire connaître.

Par conséquent, en 2019, la NGA a émis une ordonnance lui demandant d’arrêter ces activités de jeux d’argent en ligne. Kindred attaque alors cette injonction en appel. Toutefois, l’opérateur n’obtient pas gain de cause. En effet, en 2020, la Lotterinemnda rejette sa requête. Cet organisme indépendant affilié au Ministère de la Culture traite les plaintes. Il estime que Kindred contrevient à la règlementation en vigueur sur les jeux d’argent. Cependant, l’opérateur continue de lancer ses jeux sur le marché norvégien depuis cette ordonnance.

Aujourd’hui, la NGA doit appliquer des sanctions. Néanmoins, elle octroie un certain délai à Kindred pour se régulariser avant de mettre l’amende à exécution. L’autorité annule la sanction si la société émet une volonté de se retirer. Cette bonne foi doit être traduite par une proposition concernant la manière d’opérer le retrait des jeux d’argent en ligne. Dans le cas contraire, l’amende prendra effet 2 semaines après la décision d’application de la NGA.

Kindred reste persuadé d’agir dans la légalité

Depuis 2019, Trannel s’adresse à différentes juridictions pour soutenir son droit d’opérer sur le territoire norvégien. En 1er lieu, il invoque une atteinte à la libre circulation des services. Ce droit figure parmi les libertés fondamentales défendues au sein de l’EEE (Espace Économique européen).

Ensuite, il parle de sa localisation. Trannel est basé à Malte. Selon Kindred, il n’interfère donc pas sur la réglementation en vigueur, car il n’empiète pas sur le territoire norvégien. En outre, le groupe Kindred évoque un manque de réciprocité. Il affirme qu’il est anormal d’accuser Trannel d’illégalité alors que les joueurs norvégiens peuvent accéder sans souci à ces produits.

Enfin Rolf Sims, responsable des affaires publiques de Kindred en Norvège, a récemment donné une interview. Cet entretien démontre que le groupe n’a pas changé de position depuis 2019. Ce leader ajoute que l’ordonnance proférée par la NGA fait encore l’objet d’un appel auprès du tribunal d’Oslo. Cette institution doit rendre son verdict en mai 2022. Ainsi, le régulateur n’a pas autorité à lui infliger une menace avant la décision finale du juge.

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