Covid-19 : 3 casinos français contre le passeport sanitaire

Passe sanitaire Covid-19

Depuis le 9 août 2021, date d’instauration du pass sanitaire, la situation ne cesse d’empirer dans le complexe de Briançon, de Gréoux-les-Bains et le casino Barrière de Toulouse.

La clientèle diminue à vue d’œil

Le bilan du troisième trimestre 2021 est mauvais pour ces 3 établissements de jeux. Tous ont constaté une baisse de leurs chiffres d’affaires par rapport au deuxième trimestre. Le dénominateur commun n’est autre que le pass sanitaire. « Nous avions commencé à reprendre un rythme acceptable surtout pour le mois de juillet qui était comparable à celui d’il y a deux ans, mais la mise en place du pass sanitaire a fait baisser la fréquentation de l’établissement », indique Eric Darago directeur du casino Barrière de Toulouse.

Monique Gailleurd, Directrice générale du Casino de Gréoux-les-Bains, affirme que cette obligation est « une barrière » qui empêche les gens de fréquenter son établissement de jeux. Le passeport sanitaire est assez difficile à avoir. Son obtention implique la justification d’une carte de vaccination complète et des dépistages concluants : test RT-PCR ou antigénique négatif ou positif avec rétablissement de 11 jours. Depuis le 15 octobre 2021 le diagnostic du Covid est devenu payant en France. Dans un communiqué officiel, le gouvernement a annoncé que les tests RT-PCR et antigéniques ne sont plus « automatiquement pris en charge à 100 % par l’Assurance maladie » et cela complique davantage la situation des casinos. « Au mois de juin, on a eu une progression de 22 %, le mois de juillet n’était pas trop mauvais, mais suite à l’obligation du pass sanitaire au 9 août, le mois a été catastrophique », confie Sebastien Leclerq, directeur général du Groupe Circus Casino France de Briançon.

Le Pass sanitaire jusqu’en 2022

Institué par la loi du 31 mai 2021, le passeport sanitaire devait être seulement appliqué pendant 3 mois et demi. Cette obligation devait prendre fin le 15 novembre 2021, mais un nouveau projet de loi prolonge son application jusqu’au 28 février 2022. « Nous savons très bien, dès à présent, qu’il nous faudra vivre avec le virus au moins jusqu’à l’été » déclare Brigitte Bourguignon, ministre délégué de l’autonomie au sein du ministère des Solidarités et de la Santé. Le ministre de la Santé, Olivier Véran annonce ne pas avoir assez de marge de manœuvre pour se « priver d’un outil qui est fonctionnel » et « très bien accepté par les gens ».

Les sénateurs et parlementaires sont aussi contre l’abolition du passeport sanitaire. Avec ce nouveau projet de loi, ils ont opté pour une application au cas par cas. Le pass sanitaire ne sera pas appliqué sur tout le territoire français. Elle ne sera obligatoire que pour les départements qui n’ont pas atteint un taux de vaccination de 80 % ou qui possèdent un fort taux d’incidence du coronavirus.

Le vaccin est un choix, le dépistage aussi. Le gouvernement ne peut pas forcer les gens. Cette nouvelle législation ne rassure pas les opérateurs de jeux français qui crient déjà à la catastrophe et au désastre depuis la mise en place du passeport sanitaire.

Le meurtre de Fidel Mercado Reyes lié a un gain au Cherokee Casino

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Le cuisinier Fidel Mercado Reyes est tué d’un coup de pistolet dans la cuisine du restaurant La Huerta. Son collègue de travail est soupçonné être l’auteur du meurtre. L’audition des proches du défunt a révélé que celui-ci venait de remporter « un ticket de 200 000 crédits » en jouant à une machine à sous du Cherokee Casino d’Oklahoma.

Un témoin oculaire

Le déroulement du meurtre est tiré de l’affidavit de Lourdes Cisernos, un personnel de la Huerta. Un bruit d’explosion dans la cuisine l’a alerté puis elle a vu Martin Eduardo Tavarez-Torres quitter les lieux en hâte à bord de son Pick-up.

Le corps de Reyes meurtri gisait sur le sol et fut emmené d’urgence à l’hôpital régional de Siloam Springs. Une balle logée derrière la tête a eu raison de cet individu de 40 ans, père de 2 jumeaux. Il est décédé pendant le trajet en ambulance. Les médecins n’ont rien pu faire avec le corps sans vie de Reyes à part déterminer l’heure et les circonstances du décès.

Les forces de l’ordre ont été sollicitées par la gérante du restaurant Yesenia Alaniz à cause des coups de feu. Ils ont mené leur enquête sur place et ont retrouvé le fragment d’une balle et une douille de 9 mm dans la cuisine. Le ticket gagnant fut trouvé quelque temps après dans une des poches de la veste du défunt. Les policiers se sont lancés à la poursuite du fugitif et ont réussi à l’interpeller aux alentours de la résidence de sa demi-sœur à Fayetteville. Le véhicule du suspect a été retrouvé sans plaque d’immatriculation. Il voulait surement s’en débarrasser.

Détention en prison

Tavarez-Torres âgé de 21 ans est accusé de meurtre, coup et blessure au premier degré et de voies de fait. Il est directement mis en détention provisoire à la prison du comté de Beton. Thomas Gean, procureur adjoint du comté, justifie cette mesure par la gravité des chefs d’accusation contre lui. L’audience du prévenu a eu lieu en prison, le procureur Robin Green et son adjoint sont intervenus par visioconférence. La valeur de la caution n’est pas encore déterminée. Jay Saxton, défenseur public de Tavarez-Torrez a rétorqué qu’aucune caution ne devrait être requise de la part de l’accusé avant la fin de l’instruction de son dossier. Rappelons que cette somme d’argent est une garantie d’indemnisation pour les victimes du crime : frais de funérailles, préjudices moraux, etc.

Des enquêtes approfondies de la police ont démontré que Tavarez-Torres est le neveu d’Erasmo Santillan, propriétaire de la Huerta. Il a logé chez la victime la veille du crime. Visiblement, Fidel Reyes voulait faciliter son intégration en tant que nouveau cuisinier du restaurant.

Travarez-Torres est originaire de Bartlesville et ce n’est pas un exemple de bonne conduite. Les autorités de la région ont signalé que cet individu a été arrêté plusieurs fois pour conduite en état d’ébriété et sans permis.

Le procès de Tavarez Torres est prévu le 17 décembre devant le tribunal du comté de Greene en Arkansas. Toutes les preuves semblent le désigner comme coupable. Même sa sœur et son frère ont affirmé que l’obtention du ticket de machine à sous de feu Reyes est « le mobile du crime ».

Encore un millionnaire grâce à Aztec’s Millions

Aztec’s Millions

La machine à sous Aztec’s Millions prouve encore une fois sa grande générosité. Pour la troisième fois cette année 2021, elle a rendu une personne millionnaire au mois d’octobre. La présence de la fonction Jackpot progressif sur le slot rend ce genre d’évènements possible. Focus sur Aztec’s Millions : créateur de millionnaires.

3 chanceux au cours de l’année

Le slot de RTG a montré l’étendue de ses capacités au cours de cette année 2021. Les statistiques montrent que cette machine à sous verse en moyenne 2,28 millions de dollars tous les 4 ans. Certains joueurs pensaient même que Aztec’s Millions ne pourrait même pas accorder un million de dollars. Les 3 chanceux qui ont remporté le jackpot cette année peuvent démentir ces pronostics.

En début d’année, la cagnotte culminait à plus de 4,42 millions de dollars. Une femme de 49 ans l’a remporté, en misant un total de 66$. Cette personne est la 1ère à décrocher le gros lot de Aztec’s Millions. La gagnante a préféré garder l’anonymat, et n’a pas émis de commentaire quant à son gain. Ainsi, cette prouesse met fin aux polémiques qui tournaient auparavant autour de la machine à sous.

Quelques mois seulement après ce premier jackpot, un gagnant a remporté plus de 1 million de dollars. Enfin, une dame empoche 1,3 million de dollars au début du mois d’octobre.

Certains superstitieux attribuent cette générosité au thème aztèque de la machine à sous. Ils croient que les dieux aztèques bénissent tous ceux qui jouent sur ce vidéo slot. Les divinités permettent aux joueurs qui s’intéressent indirectement à leur culture d’être richement récompensés.

Des jackpots progressifs

Aztec’s Millions a été créée par RealTime Gaming (RTG) en 2009. Elle fonctionne avec l’algorithme Random Number Generator (RNG). Ce dispositif assure le caractère aléatoire de la sortie des symboles sur une machine à sous. Il est donc impossible de truquer sur Aztec’s Millions. Par ailleurs, cet opus possède la fonctionnalité Jackpot progressif. En clair, le slot affiche une cagnotte à gagner. Le montant de ce prix augmente au fur et à mesure que des joueurs parient sur le vidéo slot en question. En effet, une partie de la mise de chaque joueur est gonfle la cagnotte. Cependant, le jackpot progressif n’est accessible que dans certains pays.

Cet opus de RTG présente 5 rouleaux et 3 rangées. En outre, il propose 25 chances de gagner aux joueurs. Aztec’s Millions dispose de tours gratuits et d’autres bonus. Toutefois, le Jackpot reste le plus intéressant. Pour le remporter, 5 symboles Aztec doivent s’afficher sur l’écran. Le joueur mise 5$ pour espérer devenir millionnaire. Ce chiffre correspond à placer 0,20$ pour chaque ligne de paiement. Certes, ce montant paraît élevé comparé à d’autres machines à sous virtuels. Cependant, Aztec’s Millions prouve qu’il offre de belles chances de gains.

La Haute Cour de Karnataka annule une demande concernant les jeux en ligne

machines à sous en ligne

La Haute Cour a déclaré une demande infructueuse, suite à l’adoption du projet de loi concernant les jeux d’argent. La plainte des requérants de l’époque n’avait plus lieu d’être, compte tenu de cette nouvelle loi. De ce fait, malgré ce refus, les demandeurs ont obtenu ce qu’ils souhaitaient. Explications.

Une pétition lancée contre les jeux d’argent

Il y a quelques mois, des habitants inquiets ont lancé une pétition contre les jeux d’argent virtuels. Ces personnes ont constaté les effets néfastes des jeux de hasard sur leurs concitoyens. En effet, un nombre inquiétant d’Indiens se suicidaient suite à des pertes importantes relatives à des paris. Face à cette situation, les habitants ont voulu alerter les autorités et ont donc envoyé une pétition. Dans celle-ci, ils demandent l’interdiction des jeux d’argent et des paris en ligne. L’affaire oppose Sharada DR à l’État du Karnataka et à The Online Rummy Federation, la All India Gaming Federation et Sunil Krishnamurthy.

Les demandeurs ont eu le sentiment que leur requête n’avait pas abouti, alors ils se sont tournés vers la Haute Cour de justice du Karnataka.

La réaction de la Haute Cour

L’autorité suprême a sommé les responsables du pays d’agir. En réponse à cette demande, le ministre de l’intérieur a déposé un projet de loi. Cette nouvelle règlementation apporte des amendements à l’ancienne loi de 1963 qui régissait la police de Karnataka. C’est par le biais de ce projet de loi que le ministre entend interdire les jeux d’argent en ligne.

Cette nouvelle loi définit clairement les types de jeux qui seraient interdits. Selon les amendements, il s’agit de tout loisir joué « au moyen d’instruments de jeu, d’un ordinateur, d’une ressource informatique, d’un réseau informatique, d’un système informatique ou par une application mobile ou Internet ou tout autre dispositif de communication, application électronique, logiciel ou sur toute plate-forme virtuelle ». Cette interdiction est assortie d’une amende pouvant atteindre 100 000 roupies, soit  1 156,24 €. Auparavant, il n’existait aucune contravention relative à l’infraction. Cette peine s’applique également pour tout opérateur qui tenterait d’exploiter des jeux de hasard depuis un bâtiment ou même un navire. En plus, certaines infractions ne donnent plus droit à la mise en liberté sous caution.

Le Karnataka Police (Amendment) Bill 2021 a été adopté par l’Assemblée. Cette loi a été approuvée par le gouverneur Thawar Chand Gehlot et enfin publiée dans le Karnataka Gazette le 05 octobre. Le code devenait donc effectif à partir de cette date.

L’épilogue

1 mois après l’adoption du Karnataka Police (Amendment) Bill 2021, les magistrats se sont penchés sur la demande présentée par Sharada DR. Ce sont les honorables juges Ritu Raj Awasthi, juge en chef et Sachin Shankar Magadum qui ont statué sur l’affaire présentée le 12 septembre 2020.

Pour rappel, les demandeurs souhaitaient l’interdiction des jeux d’argent en ligne dans tout le pays du Karnataka.

L’avocat des défendeurs, tout comme celui des requérants ont admis la nature infructueuse de la pétition de l’époque. En effet, la nouvelle règlementation accède d’ores et déjà à leur souhait.

Evolution diffuse ses jeux de casino en direct au Canada grâce à OLG

Canada

Récemment, Evolution Gaming a lancé ses solutions de jeux en direct au Canada. Le fournisseur a réussi cet exploit avec l’aide de la société des loteries et des jeux de l’Ontario ou l’OLG. Une nouvelle qui risque de changer la donne sur ce marché grandissant.

Bonne nouvelle pour les joueurs canadiens

La Loterie de l’Ontario a réservé un excellent accueil aux contenus inédits d’Evolution Gaming. Effectivement, ce développeur de logiciels de jeux de casino a déployé ses divertissements en live sur le territoire canadien. Cela a pu se produire par l’intermédiaire du réseau établi de l’OLG (Ontario Lottery and Gaming). À titre de rappel, l’OLG est un organisme étatique et il administre la province la plus habitée du Canada, à savoir l’Ontario. De ce fait, Evolution a une mainmise sur le plus important marché des jeux en direct dans le pays. D’autre part, les jeux d’Evolution sont filmés à son studio de Vancouver. Ils seront alors diffusés en temps réel sur la plateforme officielle d’iGaming dans la région.

Désormais, les joueurs ontariens sont en mesure de se divertir sur les jeux originaux d’Evolution à travers le site web OLG.ca. Cela dit, cette plateforme de jeux propose déjà des jeux diversifiés comme la loterie et les machines à sous. À présent, elle fournit également les offres d’Evolution avec une option bien distincte. Dorénavant, les joueurs canadiens peuvent expérimenter des moments forts sur des titres phares comme Infinite Blackjack, Lightning Roulette, Casino Hold’Em, Speed Baccarat et bien d’autres. Ils pourront communiquer avec des croupiers en chair et en os.

Le Canada : un marché aux immenses potentiels

Dans un communiqué, Dave Pridmore, un haut responsable d’OLG, se réjouit de ce partenariat avec le groupe Evolution. Il a souligné par la même occasion que la société est enthousiaste à l’idée de fournir la meilleure expérience de jeux de casino en direct dans le secteur. En supplément, l’OLG est persuadé que les joueurs canadiens vont raffoler des croupiers en live. En outre, Evolution n’est pas le seul acteur de l’industrie du jeu à s’intéresser de près au marché du Canada. En effet, DraftKings, Caesars Entertainment et MGM Resorts sont aussi déterminés à exploiter le domaine des jeux d’argent dans la zone.

Pour information, le Canada a adopté la loi sur la réglementation des paris sportifs il y a à peine quelques mois. Ce qui permet à l’Ontario d’accéder à un marché de jeux de hasard encore plus important que ceux du New Jersey, de l’Illinois et de la Pennsylvanie aux États-Unis. Par ailleurs, Chad Beynon, un expert au sein de Macquarie Group prévoit que les paris sportifs au Canada pourraient générer 2,2 milliards de dollars tandis que les jeux de casino en ligne sont estimés à 2,4 milliards de dollars d’ici 2030. Il ajoute que ses prévisions seront justifiées une fois que toutes les formes de jeux d’argent sont légalisées.  

Kalamba Games obtient la fameuse licence MGA

Kalamba Games mga

Avec la licence MGA en poche, l’éditeur de jeu Kalamba Games peut se réjouir. Le bilan quinquennal est plus qu’excellent pour cette entreprise. Elle ne se repose pas sur ses lauriers pour autant. L’éditeur vise les sommets et compte redoubler d’efforts pour concrétiser ses désirs d’expansion internationale.

De nouveaux marchés prometteurs

La licence Malta Gaming Authority (MGA) est un ticket pour une expansion mondiale. C’est un gage de qualité et de fiabilité reconnu dans le marché de l’iGaming. Elle implique une conformité parfaite avec les règles du jeu responsable et équitable. « C’est une étape importante pour l’entreprise qui nous place fermement dans le club des jeux sous licence. C’est un grand témoignage du travail acharné de l’équipe et des multiples obstacles que nous avons dû franchir pour arriver là où nous sommes » ajoute Steve Cutler PDG et co-fondateur de Kalamba Games.

Grâce au label MGA, Kalamba Games va pouvoir proposer ses titres sur une centaine de nouveaux marchés comme les États-Unis, la France, Malte, l’Australie, Hong Kong ou la Chine. Selon Steve Cutler : « L’obtention d’une licence MGA est une étape importante pour nous, car nous poursuivons notre stratégie de croissance et apportons de nouveaux contenus et outils promotionnels innovants aux marchés réglementés »

50 opus en seulement 5 années

Kalamba Games fêtera bientôt ses 5 années d’existence en décembre. L’aventure qui a commencé en 2016 a porté des fruits qui dépassent les estimations de croissance quinquennales. Le software possède à son actif 50 titres. La marque soutient un rythme effréné depuis ses débuts. Elle s’est fixé comme objectif de créer 12 slots vidéo par année pour sa clientèle. Avec l’augmentation des opérateurs partenaires, ce défi implique des employés supplémentaires. Dans un Feedback, Steve Cutler souligne que la barre des « 50 personnes dans l’entreprise » est atteinte en 2021.

Le software propose aux opérateurs des solutions iGaming novatrices et qualitatives. Elle est passée maitre dans l’art de combiner les nouvelles technologies avec la créativité et l’inventivité de son équipe. À cela s’ajoute une parfaite connaissance des préférences des joueurs et du fonctionnement des jeux. Son professionnalisme est de notoriété publique. Les opus signés Kalamba Games sont innovants, rémunérateurs et conviviaux.

La plateforme Bullseye est une vitrine sur le monde à l’image de Kalamba Games. Ce site a contribué à son succès et sa reconnaissance en tant que professionnel de l’iGaming. En plus des protocoles de sécurité exceptionnels, il intègre un logiciel CRM dernier cri et de nombreuses fonctionnalités passionnantes comme des métajeux et de nombreux jeux Jackpot.

« Bullseye, notre plate-forme technologique, constitue un avantage concurrentiel distinct lorsqu’il s’agit de répondre à l’éventail toujours plus large d’exigences réglementaires dans de multiples juridictions et cadres de licence. Nous continuons à soutenir nos partenaires en offrant un divertissement de premier ordre à leurs joueurs. » Indique Steve Cutler.

Kalamba Games connait parfaitement son métier et de l’industrie du jeu. Plusieurs marchés réglementés font confiance à son savoir-faire et sa réputation. Avant l’obtention du label MGA, le software est déjà licencié en Italie, Grèce, Pays-Bas, Portugal, Croatie, Espagne et Suède.

Le groupe Partouche cède ses parts du casino de Crans-Montana

casino Crans-Montana

Malmené par le Covid-19, le groupe Partouche prend la décision de vendre son casino situé en Suisse. Les responsables prennent cette décision malgré le grand potentiel de cet établissement de jeux d’argent.

Une vente due à une année compliquée

La pandémie de Covid19 a forcé les établissements de jeux de hasard à fermer leurs portes. Ainsi, les casinos n’enregistraient plus aucune recette. Cette situation a causé des pertes conséquentes pour les opérateurs, dont le groupe Partouche. Pendant cette période difficile, le groupe n’a pu compter essentiellement que sur les revenus générés par les jeux en ligne.

Par ailleurs, certains casinos, incluant celui de Crans-Montana en Suisse ont pu ouvrir leurs portes pendant une période limitée. Toutefois, les recettes ne sont pas suffisantes pour remonter le produit brut des jeux (PBJ) du groupe Partouche. En effet, à la fin de l’exercice fiscal 2021, le casino de Crans-Montana a vu son PBJ baisser de 25%. Ces résultats financiers ont sûrement joué dans la prise de cette décision de cession. En effet, le groupe n’a pas dévoilé les raisons de la vente.

Des conditions à remplir pour finaliser la vente

Pour le moment, le nom de l’acquéreur reste inconnu. Toutefois, le groupe Partouche a confirmé la cession par la voie d’un communiqué de presse. Il y explique qu’il cède les 57% de parts qui lui appartiennent.

L’usage des fonds issus de la vente est déterminé par les termes d’un crédit syndiqué que le groupe avait contracté. Ainsi, la somme perçue sera utilisée soit pour rembourser en partie les dettes du casinotier, soit pour être réinvestie. Dans tous les cas, cet argent doit servir à remettre le groupe Partouche à flots.

En outre, la finalisation de la vente est conditionnée par l’approbation de la Commission Fédérale des Maisons de Jeux. Il s’agit du régulateur helvète. Le groupe estime que l’ensemble des transactions financières et des procédures administratives devraient prendre fin en janvier 2022. 

Un casino stratégique pour le canton du Valais Romand

Le président de la commune voisine de Crans-Montana s’est exprimé au sujet de la vente du casino. Il affirme la rentabilité du casino suisse et sa stabilité malgré la survenue de la pandémie. Il rappelle que cet établissement de jeux d’argent joue un rôle important pour le tourisme du canton du Valais Romand. En effet, ce casino dispose d’une gamme très variée de jeux de hasard. Une centaine de machines à sous, 3 tables de blackjack, 2 de roulette anglaise, ainsi qu’une table de Poker Texas Hold’em Ultimate attendent les joueurs. De plus, le restaurant propose des menus traditionnels qui permettent de promouvoir la culture du pays. Les heures d’ouverture vont de 19h à 3h30 du dimanche au jeudi, et de 20h 15 à 4h30 le vendredi et le samedi.

Le groupe Partouche, quant à lui, est une entreprise familiale qui s’est forgé une place de choix parmi les leaders de l’industrie des jeux d’argent. Cette société possède le plus grand nombre de casinos en France, sans parler de ceux qu’il possède outre-mer. A part les établissements de jeux de hasard, le groupe exploite des restaurants, des centres thermaux, etc. Finalement, la vente de ce casino suisse ne devrait pas signifier une trop grosse perte pour le groupe Partouche.

Scientific Games et Authentic Gaming fusionnent pour les jeux en direct

Scientific Games Authentic Gaming

Scientific Games se fraie une route vers la gloire sur le marché des casinos live. En effet, l’entreprise s’est récemment portée acquéreur des opérations d’Authentic Gaming pour fournir des jeux en direct. Désormais, Scientific Games a une mainmise sur les studios de cet éditeur.

Le premier pas de Scientific Games sur le marché

Pour inaugurer son entrée dans l’industrie des jeux de casino en direct, Scientific Games a misé sur le rachat d’Authentic Gaming. Un choix particulièrement judicieux puisque ce dernier a déjà fait ses preuves dans ce domaine. Il est de notoriété publique que ce développeur conçoit des divertissements haut de gamme. Actuellement, Authentic Gaming coopère avec d’importants opérateurs internationaux en ce qui concerne ses jeux de casinos live, une aubaine pour l’acquéreur. Cela dit, le nouveau propriétaire prévoit un avenir encore plus florissant pour sa toute nouvelle branche des jeux en direct. Plus précisément, Scientific Games envisage le lancement de plusieurs studios de diffusion basés aux États-Unis.

À titre de rappel, Scientific Games est une grosse pointure du marché de l’eGaming au pays de l’oncle Sam. D’ailleurs, la société propose des logiciels de jeux de casino et de paris sportifs innovants sur le plan mondial. À présent, elle entre en possession d’un portefeuille de jeux encore plus vaste grâce à sa nouvelle recrue. De ce fait, Scientific Games renforce sa place de leader dans l’univers des jeux multiplateformes étant donné qu’il ne lui manquait plus que des options de jeux en direct. Cependant, la firme refuse de se reposer sur ses lauriers, car elle convoite le siège du premier fournisseur de jeux de casino au monde. Bien entendu, cet objectif final est à portée de main grâce à ses services de qualité, sa collection de jeux novateurs et la réputation d’Authentic Gaming.

Authentic Gaming se réjouit de l’acquisition

Le quartier général d’Authentic Gaming se situe à Malte, regroupant ainsi des développeurs de jeux talentueux. L’entreprise domine d’ores et déjà les marchés réglementés de l’Europe avec ses jeux de casino en direct. De cette manière, il offre des divertissements palpitants à près de 30 opérateurs de jeux d’argent européens comme Entain, 888, Betway, LeoVegas et Mr Green. En effet, Authentic Gaming est surnommé : « l’expert de la roulette en direct ». Dernièrement, le concepteur de jeux a lancé son titre de Blackjack en direct et son Baccarat live va bientôt sortir.

D’autre part, le succès de la marque n’est pas dû au hasard. Elle a su anticiper les attentes de ses joueurs tout en considérant les diverses avancées technologiques. En outre, Authentic Gaming s’associe uniquement avec des partenaires de confiance afin de progresser correctement. Dorénavant, le groupe entre dans les rangs de Scientific Games et profite d’un accès en première classe sur le marché des États-Unis et d’autres juridictions européennes. Le fondateur d’Authentic Gaming, Jonas Delin souligne que cette acquisition permet à sa société d’étendre sa zone d’activité et de diversifier par la même occasion ses produits. En parallèle, le groupe continuera d’améliorer ses jeux de casino en direct.  

Monaco : le refus de l’acquisition d’un casino crée des tensions

monaco rocher

Balthazar Seydoux, président de la commission des finances et de l’économie nationale de Monaco profite de la séance budgétaire pour poser une question au gouvernement. Son interrogation concerne l’échec de l’acquisition d’un casino à Londres. La transaction devait être effectuée par la Société des Bains de Mer (SBM). L’absence de résultat crée une incompréhension chez certains acteurs politiques du pays et des responsables de la SBM.

L’incompréhension des politiciens

La SBM est une société d’État qui gère un grand nombre d’établissements de loisirs et des hôtels de luxe. En outre, elle génère des emplois pour une grande majorité de la population monégasque. Ainsi, elle contribue grandement à l’essor économique du pays. Malheureusement, la pandémie de Covid19 l’a forcé à ralentir son rythme.

Récemment, un casino de Londres était mis en vente pour une bouchée de pain. Cela aurait pu constituer une aubaine pour la SBM. En effet, l’achat de cet établissement aurait pu relancer et développer les activités de jeux d’argent de la société, tout en lui permettant de s’étendre à l’étranger. Balthazar Seydoux ne manque pas de remarquer qu’il s’agissait d’une « opportunité stratégique exceptionnelle ». Toutefois, le gouvernement monégasque s’est opposé à cet achat. Seydoux estime que cette occasion ratée est le signe d’un « dysfonctionnement ».

Le président du Conseil National, Stéphane Valeri insiste sur l’importance d’éviter qu’une telle situation se reproduise. Selon lui, la SBM attendait une occasion comme celle-ci depuis de nombreuses années. L’avoir refusé constituait donc une erreur tactique préjudiciable pour l’entreprise.

Les deux figures politiques, Valeri et Seydoux, affirment la nécessité de savoir prendre des leçons de ce qu’ils considèrent comme une erreur. Selon eux, cette actualité soulève un problème de fond que le gouvernement a tout intérêt à solutionner, dans l’intérêt de la SBM.

Les arguments du gouvernement

Le ministre d’État Pierre Dartout a représenté le gouvernement pour expliquer les raisons du refus. Le gouvernement estime que la situation économique de la SBM ne lui permet pas d’effectuer cette démarche financière. Il a rappelé que l’offre s’est présentée en août 2019. Entre-temps, les finances de la SBM se sont dégradées. L’entreprise a même eu recours à un plan de sauvegarde de l’emploi pour se maintenir à flots.

En outre, le ministre rappelle que l’achat de ce casino londonien allait de pair avec l’acquisition d’autres établissements de jeux d’argent situés en Egypte et au Royaume-Uni. Ces bâtiments nécessitaient de gros travaux de modernisation avant d’être opérationnels. Ainsi, le total des opérations financières auraient coûté un maximum d’argent à la SBM, sans parler des tracas administratifs.

Cependant, le représentant du gouvernement admet que cette décision puisse faire polémique. En revanche, il souligne que les différences de point de vue ne doivent pas être comparées à des « dysfonctionnements ». Selon Dartout, cet unique refus ne doit pas constituer un blocage pour la SBM. Le gouvernement encourage son expansion vers l’international et l’exhorte à demeurer à l’affût d’autres opportunités.

Les enjeux du nouveau projet de loi sur les jeux de hasard en Irlande

irlande drapeau

L’EGBA (European Gaming and Betting Association) soutient l’adoption de la proposition de loi sur la réglementation des jeux d’argent en Irlande. Cet organisme déclare que cette nouvelle législation va renforcer l’assainissement du marché de l’iGaming et de la protection des joueurs du pays.

L’objet de la nouvelle loi

Les objectifs du gouvernement avec cette législation sont doubles. D’une part, l’Etat compte instituer une autorité de régulation des jeux de hasard sur tout son territoire. Ce régulateur assurera le contrôle en amont et en aval des opérateurs et éditeurs d’Irlande. Il sera chargé de leur délivrer des licences et des certifications et s’assurera du respect de la loi.

D’autre part, cette nouvelle réglementation veut autoriser la création d’une base de données nationale sur les individus interdits de casino. Cette liste noire sera mise à jour régulièrement et servira de référence aux opérateurs. Ces derniers devront refuser l’accès à leurs locaux et/ou plateformes en ligne aux individus victimes de problèmes de jeu et aux personnes potentiellement dangereuses : criminels notoires, trafiquants…

Selon l’EGBA, ce projet de loi est un excellent moyen pour répondre aux nouveaux besoins des joueurs tout en leur assurant davantage de protection. L’association soutient l’initiative du gouvernement irlandais et annonce déjà une coopération future avec cette institution. Maarten Haijer, secrétaire général de l’EGBA affirme que le groupe est impatient de collaborer avec le ministère de la justice irlandais pour « partager ses expériences dans d’autres juridictions européennes ».

Des alinéas à considérer

L’EGBA est une association regroupant tous les professionnels du jeu de hasard réglementés d’Europe. Ce groupement milite en faveur de la réglementation des jeux de hasard et de l’envol du secteur. Il veut assainir le milieu et couper les vivres aux opérateurs illégaux. Pour réaliser ses objectifs, l’association enchaine les campagnes de sensibilisation et de formation.

Cette association a émis quelques réserves par rapport au nouveau projet de loi irlandais. Elle alerte le gouvernement sur les enjeux de l’interdiction des jeux démos et des promotions de fidélisation de joueurs dans le pays. La nouvelle loi interdit de nombreuses formes d’incitation : bonus, cahsback, etc. De plus, les casinos ne pourront plus sanctionner les joueurs qui refusent des paris spécifiques ou qui limitent leurs mises.

Dans une annonce officielle, l’EGBA partage ses inquiétudes face à ces séries d’interdictions : « Une telle mesure pourrait, par exemple, inciter les joueurs qui utilisent régulièrement des paris gratuits ou des bonus à les chercher sur les nombreux sites de jeux, y compris ceux du marché noir, qui opèrent en dehors du champ d’application de la réglementation irlandaise des jeux d’argent ».

L’EGBA soutient l’entrée en vigueur de ces nouvelles règlementations sur les jeux d’argent, mais pas dans sa totalité. Par l’intermédiaire de ce communiqué, cet organisme compte inspirer les parlementaires. Ses remarques ont de grandes chances d’être entendues et considérées. Le projet de loi n’est soumis au parlement que le 21 octobre 2021. À l’heure ou nous rédigeons cet article, cette législation fait l’objet d’un examen pré législatif du Comité de Justice de l’Oireachtas.

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